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Transmutations biologiques

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Message  Logos Sam 07 Mai 2011, 10:56

Le passage suivant est tiré de l'ouvrage Tohu-Bohu du Dr Hollier :

Dès 1848, un savant allemand, Vogel, cultive des plants de choux, riches en soufre, sur des milieux rigoureusement privés de soufre. Or, les feuilles de ces choux contiennent exactement la même quantité de soufre que celles des choux récoltés en milieu contenant du soufre.
Tout récemment, le Pr Baranger a poussé plus loin encore la rigueur expérimentale : ayant semé des graines de vesces sur de l'eau bi-distillée, privée de toute trace de calcium, il obtint des plants ayant exactement leur teneur normale en calcium...
Ce qui m'amène à vous présenter un petit texte qui fait un tour d'horizon, et "wikibooks" fournit un dossier complet : http://fr.wikibooks.org/wiki/Une_histoire_des_transmutations_biologiques

Par Fabrice de Bellefroid

Et si la transmutation biologique était à l’œuvre dans nos sols, dans nos jardins ? Et si elle expliquait bien des méthodes que nous avons mises au point empiriquement ? Mais, au fait, de quoi s’agit-il ? Et qu’est-ce qui peut bien nous permettre de formuler pareille hypothèse qui semble aux antipodes du « scientifiquement correct » ?

Deux cas tirés de notre quotidien…

Le premier est en rapport avec la terre de notre potager. Si vous vous intéressez depuis un certain temps à l’agriculture biologique, vous avez certainement entendu parler du rôle des « mauvaises herbes ». On leur trouve au moins deux utilités : d’une part, elles donnent divers renseignements intéressants sur la nature du sol et, d’autre part, la matière organique qu’elles produisent contribue à l’enrichir. En affinant les recherches, on a toutefois pu observer que leur rôle ne s’arrête pas là et qu’elles aident le sol à se rééquilibrer. Il est étonnant de voir comment la pâquerette vient dans les sols carencés en calcaire, qui est pourtant un constituant important de certaines substances vitales chez les plantes. L’hypothèse suivante fut donc souvent émise : cette plante ayant la capacité de concentrer le calcium qu’elle va chercher en profondeur, la laisser proliférer permet de rétablir l’équilibre, puisque cet élément chimique manquant est remis en circulation au niveau du sol lors de la décomposition de la plante. Des analyses ont, en effet, montré à quel point la plante était riche en calcium dans un sol carencé en calcaire. Mais, quand on affine l’analyse, quand on recherche les mécanismes de concentration de l’élément carencé dans le sol, l’hypothèse ne tient plus : la pâquerette peut pousser dans des sols sableux, d’où le calcaire est totalement absent, et malgré tout être riche en calcium ! Quelle autre explication donner alors ? Comment ne pas imaginer que la plante ne concentre pas l’élément carencé, mais qu’elle le fabrique !

Le deuxième cas est tiré du règne animal : il traite de la fabrication du squelette du poussin dans l’œuf. Si vous vous êtes déjà intéressé à ce sujet, vous aurez probablement lu que le fœtus fabrique son squelette à partir de la coquille de l’œuf. Cette explication est généralement acceptée. Pourtant, de prime abord, si nous prenons la peine d’observer, nous remarquons aisément que la coquille de l’œuf que nous cassons pour faire une omelette n’est pas très différente de celle que nous ramassons sous la poule après l’éclosion des poussins ! Pourtant, une analyse chimique précise montre que le poussin contient quatre à cinq fois plus de calcium que l’œuf dont il est issu n’en contenait au départ. Quelle autre explication donner que celle d’une fabrication du calcium ?

L’étonnante théorie du professeur Kervran

En accumulant des centaines d’observations de ce genre, tirées de domaines très différents comme la géologie, la médecine, l’agriculture, le professeur C. Louis Kervran a élaboré la théorie des transmutations biologiques. La matière vivante, animale ou végétale, procéderait ainsi à des transmutations d’éléments chimiques. Cela peut s’observer chez l’être humain, l’animal, les micro-organismes, les plantes, etc. Bref, dans de très nombreuses situations que nous exploitons parfois au quotidien, sans le savoir bien sûr, comme l’exceptionnelle richesse en sels minéraux des graines germées. Mais il y a aussi le cas de l’altération des monuments en marbre, la restauration des sols lors de la jachère ou l’étrange décès d’ouvriers intoxiqués au monoxyde de carbone alors qu’ils étaient simplement en train de découper une tôle d’acier au chalumeau…

Le professeur Kervran a publié sur ce sujet à partir de la fin des années cinquante, principalement chez l’éditeur Maloine à Paris – au moins son dernier ouvrage est encore disponible, d’autres pouvant être empruntés en bibliothèques. L’aspect le plus étonnant de sa théorie est qu’elle touche… à la physique nucléaire ! Un petit rappel est ici indispensable pour faciliter la compréhension : un atome est constitué d’un noyau, lui même résultant d’un agglomérat dense de protons, de charge positive, et de neutrons et d’électrons, de charge négative, en mouvement autour de ce noyau. Un atome neutre – sans charge électrique, c’est à dire n’ayant subi aucune interaction – a un même nombre d’électrons que de protons. Ses électrons sont en orbites autour du noyau, avec un nombre de couches superposées qui sont fonction du nombre d’électrons. Le nombre de proton est ce qui fait la différence entre un élément chimique et un autre, l’atome d’oxygène a huit protons, celui de fer vingt-six, celui d’or septante-neuf. Il y a une centaine d’éléments chimiques différents. Une molécule est constituée d’atomes identiques ou différents liés entre eux, c’est à dire ayant subi une réaction chimique. La chimie s’occupe des réactions chimiques, c’est à dire lorsqu’une substance réagit avec une autre pour former une ou des substances différentes des premières, mais sans jamais aucun changement au niveau des noyaux des éléments qui réagissent. Prenons l’exemple de la rouille : il s’agit d’une réaction chimique du fer, métal dont l’aspect est bien connu, qui réagit avec l’oxygène de l’air pour former un agglomérat friable de couleur brune. Le changement d’aspect est manifeste, mais en recherchant les éléments chimiques, on retrouve toujours les atomes de fer et les atomes d’oxygène. Ils n’ont pas changé leurs nombres de protons ou de neutrons. Les éléments, fer et oxygène, se sont simplement arrangés différemment et, au lieu d’être séparés l’un de l’autre – fer métallique et gaz oxygène – , ils ont formé une réaction chimique entre eux pour arriver à une nouvelle substance, un oxyde de fer appelé rouille dans le langage courant. Les atomes s’y sont intimement liés.

Nucléaire à basse énergie

Une réaction chimique fait intervenir les électrons extérieurs des atomes ou des molécules qui réagissent. Par rapport à la chimie, la physique s’occupe de phénomènes où il n’y a pas de changement de substance, mais des changements d’état – passer de l’eau liquide à la glace en refroidissant – ou toutes sortes de phénomènes où la matière ne subit aucune transformation, comme la conduction électrique par exemple. La physique nucléaire, elle, travaille sur les noyaux des éléments chimiques. En retirant ou en ajoutant un ou des protons d’un noyau, elle passe d’un atome d’un élément chimique à celui d’un autre élément. La physique nucléaire ne connaît ces passages qu’à de très hautes énergies, dans des accélérateurs de particules ou lors de réactions nucléaires. Et elle s’accompagne de radioactivité ! Quel étonnement, alors, d’apprendre que des enzymes réalisent, vraisemblablement, le passage du potassium au calcium à l’intérieur de la pâquerette de notre gazon ! Mais attention ! Pour bien cerner cette théorie et toute l’ouverture de recherche qu’elle permet, il est évidemment indispensable de lire en détail les ouvrages du professeur Kervran. Je me permettrai cependant de me livrer ici à quelques réflexions personnelles. L’étonnement, tout d’abord, a été grand pour moi de découvrir cette théorie. De formation scientifique, je ne pouvais, en effet, que m’étonner de ne jamais en avoir entendu parler ! Pas une allusion, pas une mention, rien, nulle part… L’existence de « l’énergie nucléaire à basse énergie » avait bien été citée, mais sans aucune explication ni aucun développement, juste une mention pour dire qu’elle existe, mais sans jamais aucun exemple ni aucun domaine d’application.

Qu’est ce qui fait que la science actuelle ne puisse pas ne fût-ce qu’entendre son existence ? Toutes les expériences réalisées sont pourtant parfaitement reproductibles par quiconque les entreprend, ce qui est bien un des fondements de la pratique scientifique. Et il apparaît que personne n’a jamais pu prouver que la théorie était fausse ou présenter d’autres explications aux phénomènes observés. Non, il y a juste silence total, une négation de l’existence de cette théorie qui dérange.

De la difficulté d’observer le vivant

Je pense, pour ma part, que ce qui déroute les scientifiques, c’est de travailler avec du vivant : ces expériences ne peuvent pas être réalisées in vitro en recherchant précisément quelle(s) molécule(s) ou atome(s) se combine(nt), comment, etc. Ces transmutations ne peuvent s’observer qu’en laissant l’organisme vivant réaliser ces réactions dans le secret de son intérieur, toute exploration plus poussée demandant de le tuer pour en extraire des composants. Evidemment, si le vivant est mort, la transmutation ne se produit plus ! Et comme il n’est pas possible de décrire le phénomène sous forme d’équations, de réactions chimiques ou autres, tout cela reste dans le domaine du non expliqué, donc du dérangeant... Au delà de toutes les explications convaincantes apportées par cette théorie à énormément de phénomènes pas ou mal expliqués, l’ouverture qu’elle permet me semble tout aussi cruciale.

Elle ouvre, en effet, la voie à l’observation du vivant dans son ensemble, en gardant l’intégrité de l’organisme, en respectant la vie. Plutôt que tuer en allant vers du plus en plus petit, elle nous oblige à voir la vie dans son ensemble, dans son mystère aussi, et à développer d’autres méthodes de perception des phénomènes, à observer les choses à une autre échelle. D’autres auteurs peuvent nous y aider, comme Goethe ou Schauberger. Et, en retour, cette vision des choses pourra être appliquée à tous les domaines, comme la médecine ou l’agriculture…
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Message  Charly Alverda Dim 08 Mai 2011, 03:51

Bonsoir

“De l'oeuf couvé sort un poulet, mais personne n'y prend garde.”

“La lumière des astres brille au ciel et à l'intérieur de la terre.” (Le Message Retrouvé)

Et oui, mon cher Logos, toujours vigilant ! Au siècle dernier Kervran était encore étudié par les “alchimistes”. Toutes les transmutations se font de la chaleur d’un cul de poule à celle du fumier de cheval ; et au dela, par Allah nous le craignons !

Amicalement,

Charly


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Message  Montaléchel Dim 08 Mai 2011, 10:49

Si notre cher logos avait été un tantinet encore plus vigilant, il se serait souvenu que ce sujet a déjà été abordé plusieurs fois sur notre forum. Non pas qu'on y ait déjà parlé du Dr. Hollier ou du Prof. Kervran (car ce sont là d'intéressants apports nouveaux), mais de thèmes très voisins, avec lesquels nous allons établir des liens, parce ce que les transmutations biologiques constituent une piste importante pour la compréhension de l'alchimie.

Bien entendu, nous savons que le but de l'alchimie n'est pas la transmutation des métaux "vils" en or : c'en est plutôt un sous-produit, un effet collatéral, une conséquence. Une preuve, aussi. Par contre, constater que les transmutations ont lieu spontanément dans la nature sans exiger d'énormes quantités d'énergie (comme le prétend la science-spectacle officielle), ça, c'est extrêmement intéressant, parce qu'on pourrait en déduire que s'il s'opère naturellement des transmutations dans le règne végétal ou dans le règne animal, c'est peut-être que l'alchimie y est à l'œuvre (à petites doses, discrètement). Et s'il y a alchimie, il y a donc obligatoirement conscience, harmonie, et relation au Divin. D'où l'importance d'approfondir ces recherches.

Assez récemment (27 mars 2011), c'est Ludivine qui a embrayé sur les propos d'Initiatis dans la Thèque, sur le fil CheminCroisé Sites Internet \ CRIIRAD, en mettant en avant l'interview de Jean Robieux, un chercheur qui fut jadis mandaté par le Général de Gaulles pour initier des recherches originales prometteuses, et qui propose des solutions pour déclencher des fusions nucléaires avec un laser. C'est-à-dire, dans un certains sens, avec rien d'autre que de la lumière ! Ces informations sont disponibles sous le sous-titre CheminCroisé Fusion nucléaire par laser.

Plus tôt (28 juillet 2008), j'avais moi-même lancé le sujet CheminCroisé Alchimie et noyaux atomiques où je signalais que des fusions nucléaires pouvaient survenir à basse énergie, en attirant l'attention sur certaines bactéries qui n'étaient trouvées que dans les filons aurifères. Mon intuition est que s'il existe des bactéries extrêmophiles réputées aptes à concentrer les particules d'or disparates pour les agglutiner en pépites (telles Beggiatoa, Thiothrix, Thiovulum…). Bien que la "science officielle" suggère que ces bactéries extrêmophiles (sources thermales pouvant atteindre 200°C) comme les thiobacilles se contentent de capturer des sulfures et sulfates d'or du genre Au2(SO4)3 et concentrer (précipiter) et relâcher ces métaux dissouts présents dans leur environnement (CheminCroisé biolixiviation), le processus par lequel ces bactéries agissent reste inconnu, et les chercheurs en restent aux supputations :
It is believed that the bacteria can concentrate the gold around themselves in such massive amounts because of an electrochemical reaction whereby the gold is gathered on specifically adapted membrane receptors to which the bacteria discharges excess electrons from its biological processes, thus precipitating the gold out of solution (Watterson 1992).
Je suggère pour ma part que, dans certaines conditions, ces bactéries puissent fabriquer cet or plutôt que le "concentrer". En effet, les organismes monocellulaires qui ne peuvent expulser leurs déchets hors de leur membrane se voient dans l'obligation de stocker ceux-ci dans un volume minimum. Or, les métaux lourds – dont l'or – offrent cette particularité de concentrer un maximum de matière en un volume très réduit. Si donc une bactérie parvenait à compresser ses déchets internes inexpugnables en or, elle serait bien moins gênée que si elle devait conserver la même quantité sous forme d'atomes plus légers. Ce processus ressemblerait un peu à ce que vous avez certainement déjà vu : le concassage des carcasses de vieilles voitures. Une vielle voiture, une fois passée au compresseur, devient un cube de volume très réduit, plus facile à retraiter. A la mort de la cellule, après désagrégation des tissus biologiques, il reste le résidu aurifère qui constitue le filon ou la pépite.

Bien que mon intervention ait suscité un certain scepticisme, il existe une possibilité de comprimer les atomes sans grande dépense d'énergie : les molécules-cages. Ce sont de très grosses molécules capables d'encapsuler d'autres molécules (ou quelques atomes). Certaines sont munies d'une sorte de charnière naturelle, ce qui fait qu'elles s'ouvrent ou se referment dans certaines conditions. De telles macromolécules sont très intéressantes pour capture une petite molécule ici, se déplacer, et relâcher la petite molécule en un autre endroit. Cette propriété ouvre des perspectives géniales en pharmacologie, comme encapsuler un médicament dans une macromolécule-cage qui irait le relâcher exclusivement à l'emplacement de la zone à traiter. Pour ce qui nous occupe ici, j'imaginerais volontiers une molécule-cage capable de capturer des déchets intracellulaires, et, en se refermant, les comprimer au point de forcer une fusion atomique.

Cette idée reste à explorer, bien sûr. Elle n'a même pas valeur d'hypothèse, au sens scientifique. Mais vu que des bactéries extrêmophiles exclusivement associées aux gisements aurifères existent, vu que les molécules-cages existent, et vu que des transmutations sont constatées au sein d'organismes biologiques, il est intéressant de suggérer ce rapprochement.
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Message  Logos Dim 08 Mai 2011, 12:16

Pour ce qui nous occupe ici, j'imaginerais volontiers une molécule-cage capable de capturer des déchets intracellulaires, et, en se refermant, les comprimer au point de forcer une fusion atomique.
Les premières expériences de "fusion froide" (comme dit est) utilisaient ce genre d'artifice : c'est une surface de Palladium qui joue le rôle de "molécule-cage" ; cette surface étant "atomiquement" assimilable à une surface d'oranges, le but est de "caser" les atomes à fusionner dans des trous voisins. Ce qui permettrait une fusion... Cet artifice est donc comme une subtile "clef" qui ouvre le coffre que la physique nucléaire s'emploie à bombarder avec les hautes énergies (d'où le nom de fusion froide)

Pour avoir un peu parcouru les ouvrages de Kervran, il propose une théorie pour expliquer les transmutations, qui s'appuie sur les théories classiques de l'atome, à la différence que le noyau n'est dorénavant plus considéré comme une entité fixe (ouvrant logiquement à une vision beaucoup plus fluide du vivant), mais comme composé de "sous-ensembles" nucléaires, qui peuvent être ajoutés ou retranchés (on retrouve en quelque sorte des "quanta nucléaires" ?)

Voilà différents ouvrages du biologistes à télécharger :

A la découverte des transmutations biologiques

Preuves en géologie et physique des transmutations à faible énergie

Transmutations à faible énergies - synthèse et développement

***

Enfin un texte de vulgarisation : L'alchimie de Louis Kervran et la supplémentation nutritionnelle qui (à mon avis) s'inscrit dans le sillage des "médecines de demain"
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Message  Montaléchel Dim 08 Mai 2011, 13:34

Je ne suis pas tout à fait d'accord au sujet de la mousse de platine ou de la surface en palladium : ce sont des catalyseurs, habituels en chimie. Bien que n'intervenant pas dans la réaction chimique, grâce à la rugosité de leur structure, elles permettent aux molécules qui peuvent se combiner de se rencontrer plus facilement. Elles agissent comme des "clubs de rencontres" : des lieux où ceux qui peuvent s'associer ont statistiquement plus de chances de se rencontrer. La fusion froide peut éventuellement se tester dans un tel environnement – pourquoi pas ? – mais elle est d'une nature différente qu'une réaction chimique ordinaire.

Par contre, les liens proposés en téléchargement sont à première vue effectivement intéressants.
Merci de nous avoir suggéré ces derniers.
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