Un chercheur sachant chercher
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Un chercheur sachant chercher
Mais qui n’a pas encore trouvé
Un intervenant du forum préconisait dernièrement de commencer la voie alchimique en lisant Fulcanelli, ce qui m’étonna fort. En effet comment se pourrait-il qu’on comprenât Fulcanelli plus que les adeptes du XVIIè siècle ? (la formulation grammaticale est de l’antisarkosisme primaire, j’en conviens )
Voici donc mon témoignage à propos de cette étrange voie alchimique. Le premier livre que je lus fut le Flamel des Figures et tout “empreint” de surréalisme, ou plutôt de supernaturalisme nervalien, je fus touché par la poésie du texte. Je renouvelais avec Valois, Grosparmy, Vicot, et sans en comprendre le moindre sens je fus envoûté. Mais enfin, je résolus de percer le secret et crus bon de lire un “moderne” réputé, ce qui me fit tomber sur l’inévitable Mystère des Cathédrales. Sa lecture ne m’enthousiasma guère que par ses promesses, la spiritualité étant curieusement absente du texte, bien qu’une certaine poésie affleurât de-ci de-là... Ah ! l’Ariane de Reims !
Je crus dur comme “faire” que la connaissance du grec était première pour entrer dans les textes des adeptes et que la “langue des oiseaux” était la clef pour entrer dans le Palais fermé du Roi. Je tombais non moins inévitablement sur “l’unique disciple” de Fulcanelli qui haranguait, avec force, notre belle jeunesse sur cette nécessité absolue de connaître le grec et le latin avant d’entreprendre la lecture d’un adepte. Dépité de ne point maîtriser ces langues, je lus tous les Canseliet, puis les Demeures Philosophales, ayant cru reconnaître que la lecture de ces si généreux maîtres pallieraient à mon insuffisance. Je n’étais pas dépourvu d’un certain sens littéraire et m’aperçus vite que la partie “Cathédrales” était d’une plume, l’obélisque d’Hendaye d’une autre, et les “Demeures” d’une troisième. De plus “l’homme des Cathédrales” ne “jurait” que par le Moyen-âge : “Malheur à ceux qui n’aiment pas le gothique, ou plutôt plaignons les de tout notre coeur...”, tandis que “l’homme des Demeures” ne décrivait que des architectures de la Renaissance !? Je vis aussi cette nécessité fort laborieuse, pour le premier tome des Demeures, d’engager d’entrée une longue digression sur cette époque Renaissance pour faire passer la chose.
Mais enfin, je ne lus plus donc les adeptes que dans les citations de nos “modernes”, toujours reconnaissant de leur extrême générosité, mais enfin je compris que les jeux de mots et à-peu-près désignait le coke comme matière première, mais peut-être aussi la galène dans les Mystères, mais l’antimoine dans les Demeures ? De quoi parlait-on ? Je me renseignais auprès des “disciples” et vis toutes mes illusions tomber ! “ L’unique disciple “ n’avait guère été aidé par le maître ! contrairement à ses assertions : “ Maître, la première matière la voici”, car des années après la disparition du dit maître, il avait testé de multiples matières dont le mercure (hg), la galène et finalement l’antimoine !
Au bout de deux décennies je fus convaincu de ne jamais rien comprendre à l’alchimie et j’abandonnais toute recherche. Les mois passèrent et un ami perdu de vue fit sa réapparition dans ma vie, son expression était transformée, lui qui était si agité autrefois, paraissait plus calme, plus centré. Nos discussions d’autrefois étaient basées principalement sur la spiritualité et la musique, mais j’avais vite compris son absence d’intérêt pour l’alchimie et j’avais vite renoncé !
Il me dit, alors que je le félicitais de sa nouvelle apparence à mes yeux, que le secret était l’alchimie ! Que la fréquentation de “ces beaux textes” l’avaient obligé à “se poser” ! Je lui fis alors part de ma perte totale d’intérêt pour un sujet auquel même les modernes ne pouvaient me donner accès, et que certes j’avais aimé l’étrange poésie des anciens, mais avoir plaisir à relire des livres totalement incompréhensibles était fort inquiétant. Il sortit de sa besace unLimojon de Saint Didier et m’affirma qu’avec un peu de concentration, il n’y a avait rien d’impossible à entrevoir en quoi consistait le Grand Oeuvre, et me laissa le livre.
J’avais déjà lu de large extraits de Limojon cités par Canseliet, et j’eus la surprise de constater qu’une toute autre “perspective” apparaissait, et c’est ainsi que je mis à lire et relire Cosmopolite, Valois, Zecaire, Fra Marcantonio Crassellame... Stupéfait de voir qu’ils disaient, peu ou prou, tous la même chose, une chose qui n’avait rien à voir avec la vision Fulcano-canselienne ! je me souviens que Canseliet, “charitablement” disait que le Philalèthe était le plus “envieux” de tous, le plus redoutable, mais quand je lus celui-ci je m’aperçus qu’il était mille fois plus clair que Canseliet ! les textes anciens se répondaient les uns les autres dans une symphonie de plus en plus énorme et jubilatoire. Par la pratique de l’analogie, je décelai assez vite un processus fort simple... et une pierre (de taille ), d’achoppement, que l’alchimie ternaire des XVIè, XVIIè siècle illustre bien par ses concepts d’anima mundi, de spiritus mundi et de corpus mundi. Fulcanelli et ses “suiveurs” n’avaient pas tenu compte de l’anima mundi, ou plutôt avaient confondu les deux termes : anima et spiritus, ce qui les conduisit à utiliser un mercure “spécifié” qui n’a donc puissance que dans le règne minéral/métallique, et que croyant “oeuvrer” au G.O, ils ne travaillaient en fait qu’aux transmutations métalliques, d’où cette incroyable ressemblance avec une proto-chimie en place d’une forme d’agriculture, fut-elle céleste
Il est absolument impossible d’obtenir la Pierre Philosophale par ces voies “particulières”, Le Fulcanelli des Demeures a peut-être réussi une transmutation d’un bout de plomb en or, mais n’a jamais pu être adepte.
Lisez les anciens, pratiquez l’analogie. Quel doit-être le pouvoir de la Pierre dans les TROIS règnes de la Nature ? Si vous voyez un fourneau, un creuset, à quoi pensez-vous ? La rosée ? Allez-vous chercher la rosée dans les champs (bien qu’on puisse faire des choses intéressantes avec son sel !) Allez vous cuire avec du charbon (du coke !) votre “matière” ?
Ne cherchez pas de maître vivant, à moins que vous vouliez absolument être disciple : ) , seul un Sage ami pourrait vous aider, et par ces temps si dépourvus de vraie spiritualité, il n’y a quasiment aucune chance d’en trouver un, mais les “disparus” sont intensément présents dans leurs textes qui peuvent vous ouvrir le coeur et l’esprit, dans cet ordre
Voila, mon petit témoignage, j’ai écris ceci car j’aurais donné cher pour le lire quand j’avais vingt ans, et j’espère qu’un jeune “amoureux de science” le trouvera. Il pourra éventuellement après avoir compris tant soit peu les anciens, voir en quoi les modernes différent, pas avant surtout ! La “langue des oiseaux” n’est qu’une reprise de Grasset d’Orcet à la fin du XIXè siècle, le grec ne sert de rien pour lire les anciens. Rabelais qui inventait des mots français à partir du grec n’était pas un “adepte”, mais comme tout lettré du temps connaissait la vague de l’hermétisme qui submergea les cours et les ateliers d’artistes, dont les cartiers du Tarot.
http://misraim3.free.fr/divers/histoire_grasset_d_orcet.pdf
J’ai écrit ceci un peu vite, avant de vous faire mes adieux, je compte désormais passer plus de temps à écrire mes livres, j’ai pu apprécier cet esprit de famille d’esprits entretenu par Calcédoine, c’est l’esprit d’Hélias Artista que je NOUS souhaite et le Donum Dei à ceux qui cherchent la Pierre.
Bonnes fêtes à toutes et tous.
C...a
Un intervenant du forum préconisait dernièrement de commencer la voie alchimique en lisant Fulcanelli, ce qui m’étonna fort. En effet comment se pourrait-il qu’on comprenât Fulcanelli plus que les adeptes du XVIIè siècle ? (la formulation grammaticale est de l’antisarkosisme primaire, j’en conviens )
Voici donc mon témoignage à propos de cette étrange voie alchimique. Le premier livre que je lus fut le Flamel des Figures et tout “empreint” de surréalisme, ou plutôt de supernaturalisme nervalien, je fus touché par la poésie du texte. Je renouvelais avec Valois, Grosparmy, Vicot, et sans en comprendre le moindre sens je fus envoûté. Mais enfin, je résolus de percer le secret et crus bon de lire un “moderne” réputé, ce qui me fit tomber sur l’inévitable Mystère des Cathédrales. Sa lecture ne m’enthousiasma guère que par ses promesses, la spiritualité étant curieusement absente du texte, bien qu’une certaine poésie affleurât de-ci de-là... Ah ! l’Ariane de Reims !
Je crus dur comme “faire” que la connaissance du grec était première pour entrer dans les textes des adeptes et que la “langue des oiseaux” était la clef pour entrer dans le Palais fermé du Roi. Je tombais non moins inévitablement sur “l’unique disciple” de Fulcanelli qui haranguait, avec force, notre belle jeunesse sur cette nécessité absolue de connaître le grec et le latin avant d’entreprendre la lecture d’un adepte. Dépité de ne point maîtriser ces langues, je lus tous les Canseliet, puis les Demeures Philosophales, ayant cru reconnaître que la lecture de ces si généreux maîtres pallieraient à mon insuffisance. Je n’étais pas dépourvu d’un certain sens littéraire et m’aperçus vite que la partie “Cathédrales” était d’une plume, l’obélisque d’Hendaye d’une autre, et les “Demeures” d’une troisième. De plus “l’homme des Cathédrales” ne “jurait” que par le Moyen-âge : “Malheur à ceux qui n’aiment pas le gothique, ou plutôt plaignons les de tout notre coeur...”, tandis que “l’homme des Demeures” ne décrivait que des architectures de la Renaissance !? Je vis aussi cette nécessité fort laborieuse, pour le premier tome des Demeures, d’engager d’entrée une longue digression sur cette époque Renaissance pour faire passer la chose.
Mais enfin, je ne lus plus donc les adeptes que dans les citations de nos “modernes”, toujours reconnaissant de leur extrême générosité, mais enfin je compris que les jeux de mots et à-peu-près désignait le coke comme matière première, mais peut-être aussi la galène dans les Mystères, mais l’antimoine dans les Demeures ? De quoi parlait-on ? Je me renseignais auprès des “disciples” et vis toutes mes illusions tomber ! “ L’unique disciple “ n’avait guère été aidé par le maître ! contrairement à ses assertions : “ Maître, la première matière la voici”, car des années après la disparition du dit maître, il avait testé de multiples matières dont le mercure (hg), la galène et finalement l’antimoine !
Au bout de deux décennies je fus convaincu de ne jamais rien comprendre à l’alchimie et j’abandonnais toute recherche. Les mois passèrent et un ami perdu de vue fit sa réapparition dans ma vie, son expression était transformée, lui qui était si agité autrefois, paraissait plus calme, plus centré. Nos discussions d’autrefois étaient basées principalement sur la spiritualité et la musique, mais j’avais vite compris son absence d’intérêt pour l’alchimie et j’avais vite renoncé !
Il me dit, alors que je le félicitais de sa nouvelle apparence à mes yeux, que le secret était l’alchimie ! Que la fréquentation de “ces beaux textes” l’avaient obligé à “se poser” ! Je lui fis alors part de ma perte totale d’intérêt pour un sujet auquel même les modernes ne pouvaient me donner accès, et que certes j’avais aimé l’étrange poésie des anciens, mais avoir plaisir à relire des livres totalement incompréhensibles était fort inquiétant. Il sortit de sa besace unLimojon de Saint Didier et m’affirma qu’avec un peu de concentration, il n’y a avait rien d’impossible à entrevoir en quoi consistait le Grand Oeuvre, et me laissa le livre.
J’avais déjà lu de large extraits de Limojon cités par Canseliet, et j’eus la surprise de constater qu’une toute autre “perspective” apparaissait, et c’est ainsi que je mis à lire et relire Cosmopolite, Valois, Zecaire, Fra Marcantonio Crassellame... Stupéfait de voir qu’ils disaient, peu ou prou, tous la même chose, une chose qui n’avait rien à voir avec la vision Fulcano-canselienne ! je me souviens que Canseliet, “charitablement” disait que le Philalèthe était le plus “envieux” de tous, le plus redoutable, mais quand je lus celui-ci je m’aperçus qu’il était mille fois plus clair que Canseliet ! les textes anciens se répondaient les uns les autres dans une symphonie de plus en plus énorme et jubilatoire. Par la pratique de l’analogie, je décelai assez vite un processus fort simple... et une pierre (de taille ), d’achoppement, que l’alchimie ternaire des XVIè, XVIIè siècle illustre bien par ses concepts d’anima mundi, de spiritus mundi et de corpus mundi. Fulcanelli et ses “suiveurs” n’avaient pas tenu compte de l’anima mundi, ou plutôt avaient confondu les deux termes : anima et spiritus, ce qui les conduisit à utiliser un mercure “spécifié” qui n’a donc puissance que dans le règne minéral/métallique, et que croyant “oeuvrer” au G.O, ils ne travaillaient en fait qu’aux transmutations métalliques, d’où cette incroyable ressemblance avec une proto-chimie en place d’une forme d’agriculture, fut-elle céleste
Il est absolument impossible d’obtenir la Pierre Philosophale par ces voies “particulières”, Le Fulcanelli des Demeures a peut-être réussi une transmutation d’un bout de plomb en or, mais n’a jamais pu être adepte.
Lisez les anciens, pratiquez l’analogie. Quel doit-être le pouvoir de la Pierre dans les TROIS règnes de la Nature ? Si vous voyez un fourneau, un creuset, à quoi pensez-vous ? La rosée ? Allez-vous chercher la rosée dans les champs (bien qu’on puisse faire des choses intéressantes avec son sel !) Allez vous cuire avec du charbon (du coke !) votre “matière” ?
Ne cherchez pas de maître vivant, à moins que vous vouliez absolument être disciple : ) , seul un Sage ami pourrait vous aider, et par ces temps si dépourvus de vraie spiritualité, il n’y a quasiment aucune chance d’en trouver un, mais les “disparus” sont intensément présents dans leurs textes qui peuvent vous ouvrir le coeur et l’esprit, dans cet ordre
Voila, mon petit témoignage, j’ai écris ceci car j’aurais donné cher pour le lire quand j’avais vingt ans, et j’espère qu’un jeune “amoureux de science” le trouvera. Il pourra éventuellement après avoir compris tant soit peu les anciens, voir en quoi les modernes différent, pas avant surtout ! La “langue des oiseaux” n’est qu’une reprise de Grasset d’Orcet à la fin du XIXè siècle, le grec ne sert de rien pour lire les anciens. Rabelais qui inventait des mots français à partir du grec n’était pas un “adepte”, mais comme tout lettré du temps connaissait la vague de l’hermétisme qui submergea les cours et les ateliers d’artistes, dont les cartiers du Tarot.
http://misraim3.free.fr/divers/histoire_grasset_d_orcet.pdf
J’ai écrit ceci un peu vite, avant de vous faire mes adieux, je compte désormais passer plus de temps à écrire mes livres, j’ai pu apprécier cet esprit de famille d’esprits entretenu par Calcédoine, c’est l’esprit d’Hélias Artista que je NOUS souhaite et le Donum Dei à ceux qui cherchent la Pierre.
Bonnes fêtes à toutes et tous.
C...a
Charly Alverda- Nombre de messages : 534
Date d'inscription : 02/10/2008
Re: Un chercheur sachant chercher
Bonbon... alors juste un court message pour te remercier !
Il y a toujours un moment où l'on se sépare de la famille, mais tu peux toujours revenir passer quelques fêtes avec nous, nous parler de tes livres, etc... !
Pour fêter le départ, Erik Sablé :
Le "je" de l'émerveillement est un moi ancien, archaïque, ancestral.
Nous touchons là une racine radicale, mais aussi toujours neuve,
Car le vieillard et l'enfant se touchent, en ce point d'extrême nudité
*
La vie écoule sa ronde d'habitudes et d'évidences. Brusquement, il y a un arrêt, une rupture.
Un poisson de lune se glisse derrière notre regard
Une fêlure
Un décalage
Une minuscule révolution de conscience presque imperceptible et pourtant radicale
L'espace d'un instant, la porte de l'émerveillement s'ouvre...
Nous réalisons que nous sommes "là", et ce simple fait nous bouleverse
Nous touchons du doigt le grand mystère originel
*
Là, je suis face à l'incroyable merveille du temps, qui n'est pas et qui est.
Le passé est un souvenir, le futur inexistant
Seul l'instant est là
Mais l'instant s'évanouit entre mes doigts lorsque j'essaye de le saisir...
Alors ?...
Alors reste avec ta question, Qu'elle descende jusqu'au fond de toi,
te décape,
te brûle,
et que seules demeurent les cendres transfigurées de l'émerveillement.
Il y a toujours un moment où l'on se sépare de la famille, mais tu peux toujours revenir passer quelques fêtes avec nous, nous parler de tes livres, etc... !
Pour fêter le départ, Erik Sablé :
Le "je" de l'émerveillement est un moi ancien, archaïque, ancestral.
Nous touchons là une racine radicale, mais aussi toujours neuve,
Car le vieillard et l'enfant se touchent, en ce point d'extrême nudité
*
La vie écoule sa ronde d'habitudes et d'évidences. Brusquement, il y a un arrêt, une rupture.
Un poisson de lune se glisse derrière notre regard
Une fêlure
Un décalage
Une minuscule révolution de conscience presque imperceptible et pourtant radicale
L'espace d'un instant, la porte de l'émerveillement s'ouvre...
Nous réalisons que nous sommes "là", et ce simple fait nous bouleverse
Nous touchons du doigt le grand mystère originel
*
Là, je suis face à l'incroyable merveille du temps, qui n'est pas et qui est.
Le passé est un souvenir, le futur inexistant
Seul l'instant est là
Mais l'instant s'évanouit entre mes doigts lorsque j'essaye de le saisir...
Alors ?...
Alors reste avec ta question, Qu'elle descende jusqu'au fond de toi,
te décape,
te brûle,
et que seules demeurent les cendres transfigurées de l'émerveillement.
Logos- Nombre de messages : 551
Date d'inscription : 23/12/2009
Re: Un chercheur sachant chercher
Il est un temps pour tout, c'est la Loi de la Vie :
Un temps pour rechercher, un temps pour réfléchir,
Un temps pour s'arrêter, un autre pour agir,
Et un temps pour écrire, si l'on en a envie.
. . . . . . . . . . . . . . . .
Un chercheur se cherche; puisse-t-il se trouver !
Un recul salutaire peut être nécessaire.
Il faut tourner la page quand vient l'heure de le faire,
Et suivre son chemin qui fut ici croisé.
. . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . .
Un temps pour rechercher, un temps pour réfléchir,
Un temps pour s'arrêter, un autre pour agir,
Et un temps pour écrire, si l'on en a envie.
. . . . . . . . . . . . . . . .
Un chercheur se cherche; puisse-t-il se trouver !
Un recul salutaire peut être nécessaire.
Il faut tourner la page quand vient l'heure de le faire,
Et suivre son chemin qui fut ici croisé.
. . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . .
Joker de Carreau- Nombre de messages : 23
Date d'inscription : 25/09/2008
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