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une clé
Bonjour
La lecture, c'est bien.
Mais l'alchimie ce n'est pas la lecture.
Bien que ma compréhension actuelle m'amène à penser que la réalisation de l'œuvre alchimique est affaire de destin, J'ai souhaité partager avec vous un protocole, qui amènera celui qui s'y astreint, sans jugements préconçus mais avec ouverture d'esprit à faire l'expérience d'un petit supplément d'âme permettant la pénétration d'un texte (pour autant que son auteur soit un réel alchimiste : Nicolas Valois par exemple).
Il s'agit d'une marche méditative permettant de recueillir la rosée, de faire du St Esprit une réalité tangible ce qui est absolument nécessaire à la pénétration d'un texte.
Sans le St Esprit le texte demeure scellé.
Prêt ?
Debout, les paumes des mains sont tournées vers le ciel et se trouvent à hauteur des épaules et à environs 40 cm devant ( les épaules). Les coudes sont donc pliés à 45 degré.
1er pas : exemple jambe droite.
Fléchir la cheville droite (pied flex) avancer la jambe comme pour faire un pas, les bras sont toujours devant vous comme expliqué plus haut.
Il y a un changement d'appui et vous vous retrouvez sur la jambe droite tendu (sans excès).
Au moment ou votre talon touche le sol et ou votre pied entier prend possession du sol, la jambe gauche ( du pied au genou ) se soulève à angle droit en arrière avec le pied flex.
Tout doit être fluide.
Ensuite on déplie la jambe gauche fléchir cheville et autre pas tandis que la jambe droite part en arrière pied flex.
Avec cette marche, on recueille dans son organisme le spiritus mundi ce petit supplément d'âme nécessaire à la pénétration du texte.
Bien sur il s'agit en fait d'une qualité electro magnétique.
Le temps ? 30 minutes c'est bien. De préférence dans la nature.
Au début on se fixe 10 minutes puis 15 etc...
L'impression de déséquilibre est normal.
Ainsi on recueille la rosée du ciel la cuire est une autre histoire...
Je pense que le temps des secrets est passé.
Que quelque personnes éclairées ne seront pas de trop pour les temps à venir.
Salutations Kunlun
La lecture, c'est bien.
Mais l'alchimie ce n'est pas la lecture.
Bien que ma compréhension actuelle m'amène à penser que la réalisation de l'œuvre alchimique est affaire de destin, J'ai souhaité partager avec vous un protocole, qui amènera celui qui s'y astreint, sans jugements préconçus mais avec ouverture d'esprit à faire l'expérience d'un petit supplément d'âme permettant la pénétration d'un texte (pour autant que son auteur soit un réel alchimiste : Nicolas Valois par exemple).
Il s'agit d'une marche méditative permettant de recueillir la rosée, de faire du St Esprit une réalité tangible ce qui est absolument nécessaire à la pénétration d'un texte.
Sans le St Esprit le texte demeure scellé.
Prêt ?
Debout, les paumes des mains sont tournées vers le ciel et se trouvent à hauteur des épaules et à environs 40 cm devant ( les épaules). Les coudes sont donc pliés à 45 degré.
1er pas : exemple jambe droite.
Fléchir la cheville droite (pied flex) avancer la jambe comme pour faire un pas, les bras sont toujours devant vous comme expliqué plus haut.
Il y a un changement d'appui et vous vous retrouvez sur la jambe droite tendu (sans excès).
Au moment ou votre talon touche le sol et ou votre pied entier prend possession du sol, la jambe gauche ( du pied au genou ) se soulève à angle droit en arrière avec le pied flex.
Tout doit être fluide.
Ensuite on déplie la jambe gauche fléchir cheville et autre pas tandis que la jambe droite part en arrière pied flex.
Avec cette marche, on recueille dans son organisme le spiritus mundi ce petit supplément d'âme nécessaire à la pénétration du texte.
Bien sur il s'agit en fait d'une qualité electro magnétique.
Le temps ? 30 minutes c'est bien. De préférence dans la nature.
Au début on se fixe 10 minutes puis 15 etc...
L'impression de déséquilibre est normal.
Ainsi on recueille la rosée du ciel la cuire est une autre histoire...
Je pense que le temps des secrets est passé.
Que quelque personnes éclairées ne seront pas de trop pour les temps à venir.
Salutations Kunlun
kunlun- Nombre de messages : 51
Date d'inscription : 14/08/2010
Re: une clé
Bêêêê!!!!!
Je ne connais rien au sujet que tu abordes, mais je souhaite te poser une question, à propos de ce que tu avances.
A propos des lumières, des frères, des "Deux Lumières" et des frères Lumières......
Prêt ?
Trois... Deux... Un...
On peut faire cet exercice à tout moment de la journée?
Ou bien il faut pratiquer l'Art aux heures à Rosée ?
Je ne connais rien au sujet que tu abordes, mais je souhaite te poser une question, à propos de ce que tu avances.
A propos des lumières, des frères, des "Deux Lumières" et des frères Lumières......
Prêt ?
Trois... Deux... Un...
On peut faire cet exercice à tout moment de la journée?
Ou bien il faut pratiquer l'Art aux heures à Rosée ?
Chèvre- Nombre de messages : 350
Date d'inscription : 06/06/2009
Re: une clé
Bonjour
Le matin est plus approprié.
Les résultats sont meilleurs au lever du jour.
Cependant rien n'empêche de le pratiquer à tout autre moment.
Celui qui le fait doit le faire en toute simplicité.
Il s'agit d'une technique qui provient d'une pratique japonaise Shintoiste.
Kunlun
Le matin est plus approprié.
Les résultats sont meilleurs au lever du jour.
Cependant rien n'empêche de le pratiquer à tout autre moment.
Celui qui le fait doit le faire en toute simplicité.
Il s'agit d'une technique qui provient d'une pratique japonaise Shintoiste.
Kunlun
Dernière édition par kunlun le Sam 14 Aoû 2010, 20:29, édité 1 fois (Raison : supplément)
kunlun- Nombre de messages : 51
Date d'inscription : 14/08/2010
Re: une clé
Bonsoir kunlun !
Cette démarche a l'air un truc pas mal. Je vais essayer !
L'as-tu pratiquée toi-même ?
Amitiés.
Cette démarche a l'air un truc pas mal. Je vais essayer !
L'as-tu pratiquée toi-même ?
Amitiés.
Aube-Aurore- Nombre de messages : 238
Age : 44
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: une clé
Bonjour
Oui bien entendu.
Je l'ai pratiquée avec beaucoup d'assiduité avec le résultats que j'expose ci dessus.
Amitiés également.
Kunlun
Oui bien entendu.
Je l'ai pratiquée avec beaucoup d'assiduité avec le résultats que j'expose ci dessus.
Amitiés également.
Kunlun
kunlun- Nombre de messages : 51
Date d'inscription : 14/08/2010
Re: une clé
Bonsoir.
Chèvre, qu'entendais-tu exactement par
Chèvre, qu'entendais-tu exactement par
(...) pratiquer l'Art aux heures à Rosée ?
. . . | à Rosée ? ou bien... "arrosées" ? |
Laposse- Nombre de messages : 242
Age : 55
Date d'inscription : 05/04/2008
Re: une clé
Bon... Parlons net, Laposse, puisque tu m'y invites galamment:
1/ mon impression première est que cette gymnastique alchimique proposée par Kunlun est une douce rigolade.
Mais :
2/ je suis une quiche pour tout ce qui touche les voies d'Hermes, poil aux fesses.
Et puis :
3/ il y a des tas de choses que MOI je crois dur comme fer, qui sont BIEN PLUS BRANQUES que ces galipettes virtuellement philosophales. En quel honneur irais-je en salaud, casser la baraque à un possible honnête chercheur?
Enfin :
4/ je n'ai pas envie de me faire taper sur les doigts pour cause d'étroitesse d'esprit. Et si Kunlun avait bon ??
Aussi, en attendant qu'un ténor de l'art d'Hermès intervienne, j'ai juste joué les amuse-gueules.
J'ai dit, et maintenant je m'écrase.
1/ mon impression première est que cette gymnastique alchimique proposée par Kunlun est une douce rigolade.
Mais :
2/ je suis une quiche pour tout ce qui touche les voies d'Hermes, poil aux fesses.
Et puis :
3/ il y a des tas de choses que MOI je crois dur comme fer, qui sont BIEN PLUS BRANQUES que ces galipettes virtuellement philosophales. En quel honneur irais-je en salaud, casser la baraque à un possible honnête chercheur?
Enfin :
4/ je n'ai pas envie de me faire taper sur les doigts pour cause d'étroitesse d'esprit. Et si Kunlun avait bon ??
Aussi, en attendant qu'un ténor de l'art d'Hermès intervienne, j'ai juste joué les amuse-gueules.
J'ai dit, et maintenant je m'écrase.
Chèvre- Nombre de messages : 350
Date d'inscription : 06/06/2009
Re: une clé
Bonjour à tous,
Je rebondis comme un chevreau sur les propos de Chèvre, parce qu'ils m'ont servi de fil conducteur et inspiré ce qui suit, réflexions "à bâtons rompus".
Pour toute personne qui n'a pas expérimenté une activité corporelle visant à s'harmoniser avec les énergies "subtiles" (extrêmement discrètes par rapport à la sensibilité de nos organes de perception), il est possible que les mouvements du corps dans l'espace-temps passent pour des gesticulations sans utilité. C'est vrai alors non seulement pour la technique offerte par Kunlun, mais aussi pour le taï-chi-chuan, l'aïkido, la danse, l'eurythmie, la gymnastique, la transe du chamane, les rituels gestuels religieux. Toutes ces disciplines partent du postulat (version "cartésienne") ou du constat (version "partisane") que l'humain est doté d'un corps (microcosme) intégré dans les champs énergétiques de l'univers (macrocosme), et que si l'humain s'isole de ces champs énergétiques durant un trop long temps, il ne peut que dépérir. Au contraire, tenter d'entrer au maximum en vibration harmonique avec ces champs qui structurent l'univers et qui sont à l'origine de l'émergence des formes de vie ne peut être que bénéfique. Malheureusement pour la bonne communication entre, d'une part, les témoins qui ont expérimenté la perception de ces énergies et, d'autre part, les ultra cartésiens qui ne peuvent admettre que ce qui est mesurable, il n'existe pas encore (officiellement) d'instruments de mesure de ces champs. D'où, fatalement, incompréhension et méfiance mutuelle.
Pourtant, il y a un biais par lequel un ultra cartésien peut admettre l'efficacité de pratiques gesticulatoires : l'effet placebo par autosuggestion. L'explication diffère, mais le résultat n'est pas nié.
Concernant l'étrange hors-sujet "poil aux fesses", je suis preneur d'une explication (en messagerie privée) afin de comprendre comment un seul poil (au singulier) peut concerner plusieurs fesses (au pluriel). J'ai du mal à me représenter ça.
Bémol : respect, oui, à moins d'obtenir la preuve certaine de l'inanité de cet autre point de vue, car nous savons aussi que le monde est peuplé d'escrocs et de manipulateurs en tout genre, susceptibles d'argumenter le principe de tolérance pour mieux entuber leur prochain !
- il n'y a plus de ténor de l'art d'Hermès (fini; terminé; tous morts)
- il n'y a plus de ténor de l'art d'Hermès capable d'expliquer (il en reste bien un, mais il a malheureusement subi une ablation des cordes vocales)
- il n'est pas possible d'expliquer l'art d'Hermès, parce que, précisément, l'art d'Hermès échappe à l'explication, par nature
- l'art d'Hermès ne peut être rencontré que par ceux qui ont fait un cheminement à sa rencontre, vers lui. Dans ce cas, alors, l'échec de la compréhension (CVM = avec ; PREHENDERE = prendre) est imputable à celui qui ne se met pas en route.
Voilà. C'était ma méditation de ce jour, plus ou moins guidée par les propos de Chèvre, que je remercie de m'avoir servi de source d'inspiration.
Je rebondis comme un chevreau sur les propos de Chèvre, parce qu'ils m'ont servi de fil conducteur et inspiré ce qui suit, réflexions "à bâtons rompus".
Pour un esprit dit "cartésien", c'est sûr, le procédé fera sourire. Mais c'est oublier un peu vite que René Descartes était aussi spirite, intéressé à tous les phénomènes, même à ceux non encore expliqués. Descartes n'aurait pas "doucement rigolé" de la méthode de Kunlun : il aurait prôné une patiente observation, procédé à un questionnement réfléchi, émis des hypothèses, tenté des expérimentations, cherché à comprendre. Enfin… je suppose !1/ mon impression première est que cette gymnastique alchimique proposée par Kunlun est une douce rigolade.
Pour toute personne qui n'a pas expérimenté une activité corporelle visant à s'harmoniser avec les énergies "subtiles" (extrêmement discrètes par rapport à la sensibilité de nos organes de perception), il est possible que les mouvements du corps dans l'espace-temps passent pour des gesticulations sans utilité. C'est vrai alors non seulement pour la technique offerte par Kunlun, mais aussi pour le taï-chi-chuan, l'aïkido, la danse, l'eurythmie, la gymnastique, la transe du chamane, les rituels gestuels religieux. Toutes ces disciplines partent du postulat (version "cartésienne") ou du constat (version "partisane") que l'humain est doté d'un corps (microcosme) intégré dans les champs énergétiques de l'univers (macrocosme), et que si l'humain s'isole de ces champs énergétiques durant un trop long temps, il ne peut que dépérir. Au contraire, tenter d'entrer au maximum en vibration harmonique avec ces champs qui structurent l'univers et qui sont à l'origine de l'émergence des formes de vie ne peut être que bénéfique. Malheureusement pour la bonne communication entre, d'une part, les témoins qui ont expérimenté la perception de ces énergies et, d'autre part, les ultra cartésiens qui ne peuvent admettre que ce qui est mesurable, il n'existe pas encore (officiellement) d'instruments de mesure de ces champs. D'où, fatalement, incompréhension et méfiance mutuelle.
Pourtant, il y a un biais par lequel un ultra cartésien peut admettre l'efficacité de pratiques gesticulatoires : l'effet placebo par autosuggestion. L'explication diffère, mais le résultat n'est pas nié.
On a nécessairement tous été quiche à un moment ou à un autre, à moins d'être accidentellement tombé dans la marmite étant petit, ce qui est extrêmement rare. A chacun son itinéraire : il faut un début à tout. Certains ne se découvrent un intérêt pour l'hermétisme qu'à l'âge de la retraite. Faut pas vouloir tout, tout de suite, comme un gosse de riches. Les voies d'Hermès sont tortueuses, et elles visent (implicitement) à reconfigurer notre mode d'interprétation de l'univers, ce qui ne se fait pas en quelques minutes, à moins d'un grand coup de bambou sur la tête pour chasser l'ancien paradigme en une seule opération initiatique. Je ne m'inquièterais pas pour une incompréhension actuelle de tel ou tel point de vue : il faut laisser du temps au Temps. Un trop radical changement de perception du Monde peut être plus traumatisant que bénéfique, à cause de notre propre câblage cérébral (bio-hardware).2/ je suis une quiche pour tout ce qui touche les voies d'Hermes, poil aux fesses
Concernant l'étrange hors-sujet "poil aux fesses", je suis preneur d'une explication (en messagerie privée) afin de comprendre comment un seul poil (au singulier) peut concerner plusieurs fesses (au pluriel). J'ai du mal à me représenter ça.
Ah. Alors, je suppose qu'il y a matière à richement alimenter la section Expériences vécues. Non ?3/ il y a des tas de choses que MOI je crois dur comme fer, qui sont BIEN PLUS BRANQUES que ces galipettes virtuellement philosophales.
Cette attitude positive est à souligner et à citer en exemple au monde entier, car - je généralise - trop de conflits naissent du manque de tolérance vis-à-vis de la perception qu'ont les autres de la réalité. Chacun étant nécessairement subjectif, il est souvent malaisé d'admettre qu'un autre point de vue puisse être tout aussi valable et pourtant apparemment radicalement opposé. Ça me rappelle l'histoire du "miroir sans tain" comme on en utilise dans les salles d'interrogatoires de suspects : d'un côté, presque toute la lumière est réfléchie, et ça ressemble à un miroir ordinaire, de l'autre, par transparence, on voit tout ce qu'il y a de l'autre côté. Deux points de vues différents d'une seule réalité plus complexe qu'il semblait. Le respect de points de vue que l'on ne comprend pas, fut-ce au bénéfice du doute, est une attitude à promouvoir largement.En quel honneur irais-je en salaud, casser la baraque à un possible honnête chercheur?
4/ je n'ai pas envie de me faire taper sur les doigts pour cause d'étroitesse d'esprit. Et si Kunlun avait bon ??
Bémol : respect, oui, à moins d'obtenir la preuve certaine de l'inanité de cet autre point de vue, car nous savons aussi que le monde est peuplé d'escrocs et de manipulateurs en tout genre, susceptibles d'argumenter le principe de tolérance pour mieux entuber leur prochain !
Certes, ce vœu, nous sommes nombreux à le formuler. Encore faudrait-il que ce ténor puisse EXPLIQUER, et fournir une clé. Or, peut-être ce vœu pieu ne pourra-t-il être exaucé. Raisons possibles :Aussi, en attendant qu'un ténor de l'art d'Hermès intervienne…
- il n'y a plus de ténor de l'art d'Hermès (fini; terminé; tous morts)
- il n'y a plus de ténor de l'art d'Hermès capable d'expliquer (il en reste bien un, mais il a malheureusement subi une ablation des cordes vocales)
- il n'est pas possible d'expliquer l'art d'Hermès, parce que, précisément, l'art d'Hermès échappe à l'explication, par nature
- l'art d'Hermès ne peut être rencontré que par ceux qui ont fait un cheminement à sa rencontre, vers lui. Dans ce cas, alors, l'échec de la compréhension (CVM = avec ; PREHENDERE = prendre) est imputable à celui qui ne se met pas en route.
Voilà. C'était ma méditation de ce jour, plus ou moins guidée par les propos de Chèvre, que je remercie de m'avoir servi de source d'inspiration.
Calcédoine- Admin
- Nombre de messages : 325
Date d'inscription : 02/04/2008
Descartes update...
Bonjour à tous,
Calcédoine, vous faites honneur à votre corporation d'administrateurs.
Ma première impression : Whoua !! grandeur d'âme...!
Descartes update
Notre culture d’occidentaux nous a offert la chance d’assimiler une approche Cartésienne qui permit la connaissance et la construction de nos sociétés civilisés.
Cependant, il est possible aujourd’hui de percevoir un certain essoufflement de cette approche de la raison.
Les impasses où nos sociétés et systèmes actuels sont plongés, indiquent la fin d’un cycle, mais aussi invitent à un renouveau.
L’approche de la neuro-psycho-immunologie telle que l’établissement de l’existence d’un cerveau rationnel et d’un cerveau « créatif » cerveau gauche /cerveau droit et sa démocratisation permet « une respiration » cependant, dans un champ encore trop restreint, celui des experts.
Ainsi beaucoup de connaissances qui par leurs natures seraient susceptibles de conduire à de véritables révolutions dans les consciences sur la nature du réel, demeurent en manque de diffusions afin de préserver des intérêts.
L’alchimiste n’attend pas des experts qu’ils lui indiquent le chemin, mais prend possession de lui-même, c’est un expert de lui-même.
Il part à la recherche de la nature du réel.
Notre époque avec la circulation de l’information qui la caractérise, est propice à un tel cheminement.
Il est aisé par exemple aujourd’hui, de constituer une bibliothèque privée d’ouvrages alchimiques de qualités, qui ferait pâlir d’envie nos prédécesseurs.
Mais aussi au delà, beaucoup d’informations sont disponibles autour du sujet de la quête de connaissance de par le monde.
En ce qui concerne l’alchimie, des ouvrages de la lignée taoiste tel le Hui-Ming Ching (Union de l’esprit de sagesse et de l’énergie vitale)
éclaire sensiblement l’étudiant en alchimie sur des aspects pratiques fondamentaux.
L’on me rétorquera que l’alchimie taoïste est différente de l’alchimie occidentale, mais considérons bien que l’homme et sa nature, sont les mêmes partout sur la terre.
La différence entre les deux, c’est que l’approche alchimique occidentale se trouve dans une impasse, faute d’avoir été depuis longtemps revivifiée, voire d’avantage obscurcis par la cohorte d’auteurs s’exprimant sur le sujet sans avoir l’expérience de la chose, l’alchimie taoïste quand à elle est toujours pratiquée, n’a cessé de l’être et s’appuie d’avantage sur la pratique que sur la théorisation.
Nous avons la chance, (ainsi que la responsabilité ?) de pouvoir nous réapproprier le joyau de l’héritage de ce qui fût la quête fondamentale de l’homme de tout temps et en tous lieux : le retour en conscience de la multiplicité à l’unité.
Comprenons, « notre culture » n’est plus (en potentiel) aujourd’hui celle d’un continent, mais belle et bien celle des « enfants de la terre ».
Salutations
Kunlun
Calcédoine, vous faites honneur à votre corporation d'administrateurs.
Ma première impression : Whoua !! grandeur d'âme...!
Descartes update
Notre culture d’occidentaux nous a offert la chance d’assimiler une approche Cartésienne qui permit la connaissance et la construction de nos sociétés civilisés.
Cependant, il est possible aujourd’hui de percevoir un certain essoufflement de cette approche de la raison.
Les impasses où nos sociétés et systèmes actuels sont plongés, indiquent la fin d’un cycle, mais aussi invitent à un renouveau.
L’approche de la neuro-psycho-immunologie telle que l’établissement de l’existence d’un cerveau rationnel et d’un cerveau « créatif » cerveau gauche /cerveau droit et sa démocratisation permet « une respiration » cependant, dans un champ encore trop restreint, celui des experts.
Ainsi beaucoup de connaissances qui par leurs natures seraient susceptibles de conduire à de véritables révolutions dans les consciences sur la nature du réel, demeurent en manque de diffusions afin de préserver des intérêts.
L’alchimiste n’attend pas des experts qu’ils lui indiquent le chemin, mais prend possession de lui-même, c’est un expert de lui-même.
Il part à la recherche de la nature du réel.
Notre époque avec la circulation de l’information qui la caractérise, est propice à un tel cheminement.
Il est aisé par exemple aujourd’hui, de constituer une bibliothèque privée d’ouvrages alchimiques de qualités, qui ferait pâlir d’envie nos prédécesseurs.
Mais aussi au delà, beaucoup d’informations sont disponibles autour du sujet de la quête de connaissance de par le monde.
En ce qui concerne l’alchimie, des ouvrages de la lignée taoiste tel le Hui-Ming Ching (Union de l’esprit de sagesse et de l’énergie vitale)
éclaire sensiblement l’étudiant en alchimie sur des aspects pratiques fondamentaux.
L’on me rétorquera que l’alchimie taoïste est différente de l’alchimie occidentale, mais considérons bien que l’homme et sa nature, sont les mêmes partout sur la terre.
La différence entre les deux, c’est que l’approche alchimique occidentale se trouve dans une impasse, faute d’avoir été depuis longtemps revivifiée, voire d’avantage obscurcis par la cohorte d’auteurs s’exprimant sur le sujet sans avoir l’expérience de la chose, l’alchimie taoïste quand à elle est toujours pratiquée, n’a cessé de l’être et s’appuie d’avantage sur la pratique que sur la théorisation.
Nous avons la chance, (ainsi que la responsabilité ?) de pouvoir nous réapproprier le joyau de l’héritage de ce qui fût la quête fondamentale de l’homme de tout temps et en tous lieux : le retour en conscience de la multiplicité à l’unité.
Comprenons, « notre culture » n’est plus (en potentiel) aujourd’hui celle d’un continent, mais belle et bien celle des « enfants de la terre ».
Salutations
Kunlun
kunlun- Nombre de messages : 51
Date d'inscription : 14/08/2010
Re: une clé
Bonjour à tous et à Kunlun “particulièrement”,
J’apprécie le positivisme de votre (dé)marche, mais quelques unes de vos conclusions me semblent difficiles à valider, ainsi celle-ci ;
Vous dites : “ Notre culture d’occidentaux nous a offert la chance d’assimiler une approche Cartésienne qui permit la connaissance et la construction de nos sociétés civilisés.”
Oui ? Il est singulièrement étonnant que la “philosophie” à l’oeuvre “ dans ce bout de péninsule s’enfonçant dans l’Atlantique “ (*), qu’on appelle Europe, ait contribué à piller, empoisonner, le reste de la planète en si peu de temps ! Les grandes cultures indiennes et chinoises ne dédaignant pas de nos jours à copier cet extraordinaire “modèle de civilisation”.
C’est malheureusement ainsi que j’interprète votre assertion : « notre culture » n’est plus (en potentiel) aujourd’hui celle d’un continent, mais belle et bien celle des « enfants de la terre ».
Nous devons effectivement cela à cette approche (néo)cartésienne qui a séparé la nature de l’être. On en trouve les signes précurseurs dans l’utilisation du télescope, du microscope, la peinture de paysage née à ce moment, qui créèrent une distance irréductible entre l’homme et la nature. Cette dernière, dont le terme apparaît précisément au XVIIè siècle, devenue entièrement observable apparut alors autonome, conduisant de fait à un ethnocentrisme ne sachant plus accorder d’intériorité qu’au seul être humain (blanc évidemment), les autres peuples et les animaux n’étant vus que comme ressources à coloniser et à domestiquer sans “ états d’âme “.
Cette séparation a démultiplié l’ego et l’avidité, tout être étant vu par l’homme comme un objet y compris son voisin, celui-ci lui renvoyant une image à laquelle il s’identifie, ainsi tourne la roue existentielle !
Un “éveillé” a dit : “ Tant qu'on se conçoit avec une identité séparée, on vit dans la superficialité de notre être véritable, dans son reflet. Et on vit dans la souffrance de ce sentiment de séparation. Dans ce sentiment, il y a en germe conflits, violences et guerres. L'obstacle à l'amour est ce concept d'une identité séparée. Il n'y en a pas d'autres.”
Pour assurer une illusoire permanence, l’égo et son mental, indéfiniment dans cette brève existence, crée des problèmes qu'il s'ingénie ensuite à résoudre pour masquer l’angoisse de sa mort.
Croyant accéder au réel : le présent, nous jugeons de tout, avec l’unique outil que peut fournir le mental : la mémoire ! jugements qui nous séparent de la conscience. Nous voyons tout avec la tête de nos pensées, mais penser déplace le regard vers l'objet, vers l'extérieur. Le paradigme du progrès nous lie au temps qui s’accélère à la même vitesse, obligeant notre esprit à imaginer un chemin à parcourir, avec des étapes, et un but à atteindre qui serait... ce que nous sommes de toute éternité : conscience sans objet(s).
Vous dites que “ Cependant, il est possible aujourd’hui de percevoir un certain essoufflement de cette approche de la raison. “ J’aimerais vous croire, bien que cela ne devrait pas être pour nous un VRAI problème.
Citation :
“ L’alchimiste n’attend pas des experts qu’il lui indique le chemin, mais prend possession de lui-même, c’est un expert de lui-même. Il part à la recherche de la nature du réel. Notre époque avec la circulation de l’information qui la caractérise, est propice à un tel cheminement.”
Ce serait séduisant si l’individu pouvait “réaliser” quoique que soit par un “développement personnel “. Mais ce n’est pas l’individu qui réalise, car c’est un être entièrement programmé depuis le ventre de sa mère, ce que vous ressentez en lisant ceci est inscrit au programme, seule la conscience est libre.
Il est intéressant de constater que les produits de la science issus de la pensée naturaliste à l’oeuvre depuis environ 250 ans se subvertissent de l’intérieur, pour confirmer les expériences des Sages. Vous faites allusion avec raison aux neurosciences. Lionel Naccache neurologue et chercheur en neurosciences cognitives vient de publier un nouvel essai fort intéressant à cet égard, « Perdons-nous connaissance », mais je veux citer une interview liée à son précédent livre : “ Le nouvel inconscient Freud, Christophe Colomb des neurosciences.”
“ Question : Vous parlez du libre arbitre.
Si on regarde les choses du point de vue de la conscience et qu'on se demande où se loge la liberté humaine, il y a quelque chose de vertigineux. On peut se dire : on manipule des fictions, on y croit, elles guident notre vie, et, en même temps, elles sont illusoires, ce sont des faits de croyance. Et pourtant, du fait même qu'on y adhère, ces fictions nous permettent de gouverner des comportements, des décisions. Peut-être que notre seul ressort de liberté, c'est ça, cette illusion première. Notre liberté est quelque chose d'infime, mais c'est là qu'elle se joue, sur une illusion qui nous donne une toute petite marge de manoeuvre. Cela relativise la notion de liberté, et pourtant, cette part de fiction est la source même de notre liberté.”
http://www.psychanalyse-en-mouvement.net/articles.php?lng=fr&pg=2154
Évidemment à la lueur de ce que j’ai exprimé précédemment, vous comprendrez que je ne cautionne pas la dernière phrase. (sourire)
Vous affirmez : “ que l’approche alchimique occidentale se trouve dans une impasse, faute d’avoir été depuis longtemps revivifiée, voir d’avantage obscurcis par la cohorte d’auteurs s’exprimant sur le sujet sans avoir l’expérience de la chose.”
Le problème de la perception de l’alchimie en occident, a toujours été. Aux XVIè et XVIIè, époque où il n’y eut jamais autant de maîtres ouvrages sur le sujet, les “philosophes” employaiet les termes d’alquemistes, d’alchymistes, souvent comme synonymes de souffleurs. Cela à cause de la chimie naissante, fruit de l’empirisme des souffleurs désormais porteurs, au XVIIè, d’une méthodologie. En règle générale, à cette époque, les livres d’alchimie véritable sont dénommés de “philosophie naturelle”, “livres égyptiens” ou “livres de hiéroglyphes”, un sous-titre à connotation cabalistique pouvant valider le sujet.
On peut constater qu’il n’y a plus d’adeptes (connus) depuis le XVIIè siècle, le matérialisme ambiant ayant dès lors fait table rase de toute spiritualité créatrice. La persistance en la croyance d’une pratique alchimique actuelle provient du milieu du XXè siècle, ou un incertain adepte se fit massivement connaître par la publication du Mystère des Cathédrales, livre très poétique, qui ne nous apprend rien sur l’alchimie, mais tout sur une Langue des Oiseaux jamais utilisée par les adeptes ! Sous le même nom, une autre plume (celle qui rédigea les sept études des demeures de la Renaissance) écrivit Les Demeures Philosophales où cette fois une méthodologie est explicitée, les deux oeuvres étant compilées par “l’unique disciple” E. Canseliet.
Nous sommes à un tel niveau de matérialisme que personne ne semble avoir remarqué que jamais un adepte n’aurait pu revendiquer de disciples. L’adepte étant un “éveillé” n’ayant plus aucun rôle possible à jouer sur la scène du monde. Un maître ne peut enseigner qu’une maîtrise d’une science ou d’un art, le cas particulier de cet art et de cette science alchimique étant qu’elle est le fruit d’une Révélation.
Le fait qu’une méthodologie soit distillée dans l’oeuvre fulcanellienne, indique certes la possibilité d’une initiation de maître à disciple, de plus la possibilité de la transmutation des métaux est possible dans ce cas “particulier”.
Mais il convient alors de prendre, à minima, une définition de l’alchimie : “ elle est l’art et la science qui produit la pierre philosophale “ Qu’est cette dernière ? La pure lumière, qui donne poids à toute chose, coagulée sous une forme palpable.
Le processus alchimique des anciens n’est pas très difficile à comprendre, et d’entrée le problème est posé : il convient d’aimanter cette énergie appelée mercure et de la cuire. Quelle est la nature de cette énergie ?
Si l’apogée de l’alchimie est à la Renaissance, c’est qu’un nouveau concept est né, diffusé par Dorn et les médecins paracelsiens, celui du sel. Au ternaire soufre/sel/mercure : âme/corps/esprit (en bas) correspond analogiquement la Trinité d’en-haut.
Les anciens disent : “ le corps vient de la terre et l’esprit des étoiles, l’âme de la divinité” , seule l’âme est immortelle et seul ce qui naît meurt. Or (!), il n’y a nulle génération sans corruption/dissolution, ce premier oeuvre de dissolution ne pouvant s’accomplir qu’avec le feu secret, il est impossible d’oeuvrer sans son acquisition.
L’esprit universel fait un incessant double mouvement de montée de la terre vers le cosmos et de descente inverse, le problème est que dès qu’il touche la terre il est spécifié et seulement propre au règne minéral, c’est dans cet état que Fulcanelli a trouvé sa “matière première”, lui permettant possiblement une transmutation, mais en aucun cas la Pierre. Utiliser le mercure spécifié ne peut servir qu’à la science des “particuliers” et peut effectivement s’enseigner.
Mais la pierre n’est réalisable que lorsque le mercure n’est pas spécifié, “ lorsque il baise les bourgeons printaniers ”, j’y vois par ailleurs la légende relative au gui sacré. La connaissance de la fabrication de l’aimant permettant de capter le mercure non spécifié ne peut se découvrir rationnellement, c’est le fruit de la Révélation que les anciens appelaient le “ Don de Dieu “.
Les lettrés de la renaissance avaient une bien meilleure connaissance de l’alchimie que nous parce qu’ils fonctionnaient sur le mode analogique, le processus alchimique était très répandu, on versifiait sur la Pierre, on faisait des livres d’emblèmes sur le Grand Oeuvre. Mais connaître le process ne permet évidemment pas le DÉBUT d’une pratique... alchimique.
Avec sa “pratique” Fulcanelli donne l’impression fausse, depuis des lustres, que l’alchimie ait à voir avec la métallurgie, alors qu’elle est tout proche de l’agriculture. Contrairement à ce que vous dites, la cohorte d’auteurs a trop d’expérience(s) - qu’ils appellent des voies - de la “chose” spagyrique, voies de garages pour une expérience alchimique !
Fulcanelli savait-t’il plus que sa “cohorte” de suiveurs qu’il pratiquait la spagyrie, personnellement j’ai un doute. Il me paraît en outre évident que la recherche de ces “particuliers” est incompatible avec une recherche “philosophique” , il faut avoir quitter la matrice de l’espace-temps par la “fenêtre” de l’entre-deux pensées pour être disponible à recevoir cette Sophia, quand Elle le veut, seulement quand Elle le veut.
C’est la grâce que je nous souhaite
J’acquiesce ainsi votre formulation :
“ Nous avons la chance, (ainsi que la responsabilité ?) de pouvoir nous réapproprier le joyau de l’héritage de ce qui fût la quête fondamentale de l’homme de tout temps et en tous lieux : le retour en conscience de la multiplicité à l’unité. “
Cordialement,
C...a
(*) expression que j’aime beaucoup de Philippe Descola que j’aime beaucoup dans son livre que j’aime beaucoup : Par delà nature et culture.
J’apprécie le positivisme de votre (dé)marche, mais quelques unes de vos conclusions me semblent difficiles à valider, ainsi celle-ci ;
Vous dites : “ Notre culture d’occidentaux nous a offert la chance d’assimiler une approche Cartésienne qui permit la connaissance et la construction de nos sociétés civilisés.”
Oui ? Il est singulièrement étonnant que la “philosophie” à l’oeuvre “ dans ce bout de péninsule s’enfonçant dans l’Atlantique “ (*), qu’on appelle Europe, ait contribué à piller, empoisonner, le reste de la planète en si peu de temps ! Les grandes cultures indiennes et chinoises ne dédaignant pas de nos jours à copier cet extraordinaire “modèle de civilisation”.
C’est malheureusement ainsi que j’interprète votre assertion : « notre culture » n’est plus (en potentiel) aujourd’hui celle d’un continent, mais belle et bien celle des « enfants de la terre ».
Nous devons effectivement cela à cette approche (néo)cartésienne qui a séparé la nature de l’être. On en trouve les signes précurseurs dans l’utilisation du télescope, du microscope, la peinture de paysage née à ce moment, qui créèrent une distance irréductible entre l’homme et la nature. Cette dernière, dont le terme apparaît précisément au XVIIè siècle, devenue entièrement observable apparut alors autonome, conduisant de fait à un ethnocentrisme ne sachant plus accorder d’intériorité qu’au seul être humain (blanc évidemment), les autres peuples et les animaux n’étant vus que comme ressources à coloniser et à domestiquer sans “ états d’âme “.
Cette séparation a démultiplié l’ego et l’avidité, tout être étant vu par l’homme comme un objet y compris son voisin, celui-ci lui renvoyant une image à laquelle il s’identifie, ainsi tourne la roue existentielle !
Un “éveillé” a dit : “ Tant qu'on se conçoit avec une identité séparée, on vit dans la superficialité de notre être véritable, dans son reflet. Et on vit dans la souffrance de ce sentiment de séparation. Dans ce sentiment, il y a en germe conflits, violences et guerres. L'obstacle à l'amour est ce concept d'une identité séparée. Il n'y en a pas d'autres.”
Pour assurer une illusoire permanence, l’égo et son mental, indéfiniment dans cette brève existence, crée des problèmes qu'il s'ingénie ensuite à résoudre pour masquer l’angoisse de sa mort.
Croyant accéder au réel : le présent, nous jugeons de tout, avec l’unique outil que peut fournir le mental : la mémoire ! jugements qui nous séparent de la conscience. Nous voyons tout avec la tête de nos pensées, mais penser déplace le regard vers l'objet, vers l'extérieur. Le paradigme du progrès nous lie au temps qui s’accélère à la même vitesse, obligeant notre esprit à imaginer un chemin à parcourir, avec des étapes, et un but à atteindre qui serait... ce que nous sommes de toute éternité : conscience sans objet(s).
Vous dites que “ Cependant, il est possible aujourd’hui de percevoir un certain essoufflement de cette approche de la raison. “ J’aimerais vous croire, bien que cela ne devrait pas être pour nous un VRAI problème.
Citation :
“ L’alchimiste n’attend pas des experts qu’il lui indique le chemin, mais prend possession de lui-même, c’est un expert de lui-même. Il part à la recherche de la nature du réel. Notre époque avec la circulation de l’information qui la caractérise, est propice à un tel cheminement.”
Ce serait séduisant si l’individu pouvait “réaliser” quoique que soit par un “développement personnel “. Mais ce n’est pas l’individu qui réalise, car c’est un être entièrement programmé depuis le ventre de sa mère, ce que vous ressentez en lisant ceci est inscrit au programme, seule la conscience est libre.
Il est intéressant de constater que les produits de la science issus de la pensée naturaliste à l’oeuvre depuis environ 250 ans se subvertissent de l’intérieur, pour confirmer les expériences des Sages. Vous faites allusion avec raison aux neurosciences. Lionel Naccache neurologue et chercheur en neurosciences cognitives vient de publier un nouvel essai fort intéressant à cet égard, « Perdons-nous connaissance », mais je veux citer une interview liée à son précédent livre : “ Le nouvel inconscient Freud, Christophe Colomb des neurosciences.”
“ Question : Vous parlez du libre arbitre.
Si on regarde les choses du point de vue de la conscience et qu'on se demande où se loge la liberté humaine, il y a quelque chose de vertigineux. On peut se dire : on manipule des fictions, on y croit, elles guident notre vie, et, en même temps, elles sont illusoires, ce sont des faits de croyance. Et pourtant, du fait même qu'on y adhère, ces fictions nous permettent de gouverner des comportements, des décisions. Peut-être que notre seul ressort de liberté, c'est ça, cette illusion première. Notre liberté est quelque chose d'infime, mais c'est là qu'elle se joue, sur une illusion qui nous donne une toute petite marge de manoeuvre. Cela relativise la notion de liberté, et pourtant, cette part de fiction est la source même de notre liberté.”
http://www.psychanalyse-en-mouvement.net/articles.php?lng=fr&pg=2154
Évidemment à la lueur de ce que j’ai exprimé précédemment, vous comprendrez que je ne cautionne pas la dernière phrase. (sourire)
Vous affirmez : “ que l’approche alchimique occidentale se trouve dans une impasse, faute d’avoir été depuis longtemps revivifiée, voir d’avantage obscurcis par la cohorte d’auteurs s’exprimant sur le sujet sans avoir l’expérience de la chose.”
Le problème de la perception de l’alchimie en occident, a toujours été. Aux XVIè et XVIIè, époque où il n’y eut jamais autant de maîtres ouvrages sur le sujet, les “philosophes” employaiet les termes d’alquemistes, d’alchymistes, souvent comme synonymes de souffleurs. Cela à cause de la chimie naissante, fruit de l’empirisme des souffleurs désormais porteurs, au XVIIè, d’une méthodologie. En règle générale, à cette époque, les livres d’alchimie véritable sont dénommés de “philosophie naturelle”, “livres égyptiens” ou “livres de hiéroglyphes”, un sous-titre à connotation cabalistique pouvant valider le sujet.
On peut constater qu’il n’y a plus d’adeptes (connus) depuis le XVIIè siècle, le matérialisme ambiant ayant dès lors fait table rase de toute spiritualité créatrice. La persistance en la croyance d’une pratique alchimique actuelle provient du milieu du XXè siècle, ou un incertain adepte se fit massivement connaître par la publication du Mystère des Cathédrales, livre très poétique, qui ne nous apprend rien sur l’alchimie, mais tout sur une Langue des Oiseaux jamais utilisée par les adeptes ! Sous le même nom, une autre plume (celle qui rédigea les sept études des demeures de la Renaissance) écrivit Les Demeures Philosophales où cette fois une méthodologie est explicitée, les deux oeuvres étant compilées par “l’unique disciple” E. Canseliet.
Nous sommes à un tel niveau de matérialisme que personne ne semble avoir remarqué que jamais un adepte n’aurait pu revendiquer de disciples. L’adepte étant un “éveillé” n’ayant plus aucun rôle possible à jouer sur la scène du monde. Un maître ne peut enseigner qu’une maîtrise d’une science ou d’un art, le cas particulier de cet art et de cette science alchimique étant qu’elle est le fruit d’une Révélation.
Le fait qu’une méthodologie soit distillée dans l’oeuvre fulcanellienne, indique certes la possibilité d’une initiation de maître à disciple, de plus la possibilité de la transmutation des métaux est possible dans ce cas “particulier”.
Mais il convient alors de prendre, à minima, une définition de l’alchimie : “ elle est l’art et la science qui produit la pierre philosophale “ Qu’est cette dernière ? La pure lumière, qui donne poids à toute chose, coagulée sous une forme palpable.
Le processus alchimique des anciens n’est pas très difficile à comprendre, et d’entrée le problème est posé : il convient d’aimanter cette énergie appelée mercure et de la cuire. Quelle est la nature de cette énergie ?
Si l’apogée de l’alchimie est à la Renaissance, c’est qu’un nouveau concept est né, diffusé par Dorn et les médecins paracelsiens, celui du sel. Au ternaire soufre/sel/mercure : âme/corps/esprit (en bas) correspond analogiquement la Trinité d’en-haut.
Les anciens disent : “ le corps vient de la terre et l’esprit des étoiles, l’âme de la divinité” , seule l’âme est immortelle et seul ce qui naît meurt. Or (!), il n’y a nulle génération sans corruption/dissolution, ce premier oeuvre de dissolution ne pouvant s’accomplir qu’avec le feu secret, il est impossible d’oeuvrer sans son acquisition.
L’esprit universel fait un incessant double mouvement de montée de la terre vers le cosmos et de descente inverse, le problème est que dès qu’il touche la terre il est spécifié et seulement propre au règne minéral, c’est dans cet état que Fulcanelli a trouvé sa “matière première”, lui permettant possiblement une transmutation, mais en aucun cas la Pierre. Utiliser le mercure spécifié ne peut servir qu’à la science des “particuliers” et peut effectivement s’enseigner.
Mais la pierre n’est réalisable que lorsque le mercure n’est pas spécifié, “ lorsque il baise les bourgeons printaniers ”, j’y vois par ailleurs la légende relative au gui sacré. La connaissance de la fabrication de l’aimant permettant de capter le mercure non spécifié ne peut se découvrir rationnellement, c’est le fruit de la Révélation que les anciens appelaient le “ Don de Dieu “.
Les lettrés de la renaissance avaient une bien meilleure connaissance de l’alchimie que nous parce qu’ils fonctionnaient sur le mode analogique, le processus alchimique était très répandu, on versifiait sur la Pierre, on faisait des livres d’emblèmes sur le Grand Oeuvre. Mais connaître le process ne permet évidemment pas le DÉBUT d’une pratique... alchimique.
Avec sa “pratique” Fulcanelli donne l’impression fausse, depuis des lustres, que l’alchimie ait à voir avec la métallurgie, alors qu’elle est tout proche de l’agriculture. Contrairement à ce que vous dites, la cohorte d’auteurs a trop d’expérience(s) - qu’ils appellent des voies - de la “chose” spagyrique, voies de garages pour une expérience alchimique !
Fulcanelli savait-t’il plus que sa “cohorte” de suiveurs qu’il pratiquait la spagyrie, personnellement j’ai un doute. Il me paraît en outre évident que la recherche de ces “particuliers” est incompatible avec une recherche “philosophique” , il faut avoir quitter la matrice de l’espace-temps par la “fenêtre” de l’entre-deux pensées pour être disponible à recevoir cette Sophia, quand Elle le veut, seulement quand Elle le veut.
C’est la grâce que je nous souhaite
J’acquiesce ainsi votre formulation :
“ Nous avons la chance, (ainsi que la responsabilité ?) de pouvoir nous réapproprier le joyau de l’héritage de ce qui fût la quête fondamentale de l’homme de tout temps et en tous lieux : le retour en conscience de la multiplicité à l’unité. “
Cordialement,
C...a
(*) expression que j’aime beaucoup de Philippe Descola que j’aime beaucoup dans son livre que j’aime beaucoup : Par delà nature et culture.
Charly Alverda- Nombre de messages : 534
Date d'inscription : 02/10/2008
Re: une clé
Bonjour à tous, bonjour Charly
Merci pour votre réponse, j’ai pris plaisir à vous lire.
Votre intervention est stimulante !
Je suis en accord avec vous sur de nombreux points, cependant, j’avoue avoir eu quelques difficultés à faire une synthèse de vos propos.
Sans doutes par le fait que vous soulevez de nombreux points.
En ce qui concerne l’aspect destructeur de notre «civilisation globale », cette polarité marquée indique assez clairement la fin d’un cycle. Quelque chose se comprime, comme un accouchement.
Sur le sujet de la capacité qu’a l’individu de croître vous dites :
« Ce serait séduisant si l’individu pouvait “réaliser” quoique que soit par un “développement personnel “. Mais ce n’est pas l’individu qui réalise, car c’est un être entièrement programmé depuis le ventre de sa mère, ce que vous ressentez en lisant ceci est inscrit au programme, seule la conscience est libre ».
Je trouve votre point de vue intéressant, je suis d’accord à cette nuance près :
Je pense que « notre travail » (si travail il y a …) d’alchimie, ne consiste pas à faire mais plutôt à défaire.
Et le secret, si secret il y a, réside dans la manière.
Se défaire redonne la place à nature.
C’est tout l’œuvre alchimique.
Se défaire de cette programmation qui était nécessaire pour trouver les moyens de s’en défaire.
Nos programmations limitantes, celles qui restreignent la vie à notre désavantage, s’expriment dans nos tensions corporelles, dans la manière particulière d’habiter notre corps, la manière particulière de laisser ou non s’exprimer le centre.
Aussi dans l’axe.
Le corps est en fait un récepteur des polarités fondamentales Terre/Ciel.
Une fois parvenu au stade ou l’on a dissout « le plus gros » (c’est un processus), Nature peut se déployer,
déployer l’ADN permettant au pratiquant un développement plus…satisfaisant de sa condition d’homme.
Dans l’alchimie l’Art consiste à « accélérer » l’œuvre de Nature, n’est ce pas ?
Sur le sujet de votre citation appréciée de l’auteur de
“ Le nouvel inconscient Freud, Christophe Colomb des neurosciences.”
Ma réflexion :
Cette quête incessante de « l’objet » qui une fois obtenu ne tient pas ses promesses et nous conduit à poursuivre un autre but prend elle fin un jour ?
Sommes nous tous voués à être brisés, ou existe-t’ il une issue positive et heureuse à cette quasi aliénation ?
L’illusion est nécessaire.
Jusqu’au moment ou une personne prend conscience que la clochette qui résonne en lui de manière passagère
alors qu’il étreint l’objet tant convoité, trouve son lieu en lui même, qu’il peut s’en emparer et la mettre en mouvement indépendamment de tout objet.
Autre sujet :
Spagyrie etc… pour moi il est clair que c’est une impasse qui ne conduit à rien de significatif en terme de contentement.
Vous relevez que:
L’esprit universel fait un incessant double mouvement de montée de la terre vers le cosmos et de descente inverse
Oui c’est ça et c’est de cela dont je parle de capter avec la technique japonaise shinto (marche des fleurs).
Heureusement certaines techniques de grandes valeurs n’ont cessés d’être transmises.
A prendre ou à laisser….au choix !
Cependant, il convient de considérer que d’autres êtres humains se sont posés ces mêmes questions et que celle ci est le fruit d’une expérimentation qui dut prendre un certain temps ou siècles pour voir le jour.
Je n’insiste pas…
Métallurgie ou agriculture : nous sommes d’accord.
Merci pour votre travail, vos réflexions partagées, vos citations et références.
Bien à vous. Kunlun
Merci pour votre réponse, j’ai pris plaisir à vous lire.
Votre intervention est stimulante !
Je suis en accord avec vous sur de nombreux points, cependant, j’avoue avoir eu quelques difficultés à faire une synthèse de vos propos.
Sans doutes par le fait que vous soulevez de nombreux points.
En ce qui concerne l’aspect destructeur de notre «civilisation globale », cette polarité marquée indique assez clairement la fin d’un cycle. Quelque chose se comprime, comme un accouchement.
Sur le sujet de la capacité qu’a l’individu de croître vous dites :
« Ce serait séduisant si l’individu pouvait “réaliser” quoique que soit par un “développement personnel “. Mais ce n’est pas l’individu qui réalise, car c’est un être entièrement programmé depuis le ventre de sa mère, ce que vous ressentez en lisant ceci est inscrit au programme, seule la conscience est libre ».
Je trouve votre point de vue intéressant, je suis d’accord à cette nuance près :
Je pense que « notre travail » (si travail il y a …) d’alchimie, ne consiste pas à faire mais plutôt à défaire.
Et le secret, si secret il y a, réside dans la manière.
Se défaire redonne la place à nature.
C’est tout l’œuvre alchimique.
Se défaire de cette programmation qui était nécessaire pour trouver les moyens de s’en défaire.
Nos programmations limitantes, celles qui restreignent la vie à notre désavantage, s’expriment dans nos tensions corporelles, dans la manière particulière d’habiter notre corps, la manière particulière de laisser ou non s’exprimer le centre.
Aussi dans l’axe.
Le corps est en fait un récepteur des polarités fondamentales Terre/Ciel.
Une fois parvenu au stade ou l’on a dissout « le plus gros » (c’est un processus), Nature peut se déployer,
déployer l’ADN permettant au pratiquant un développement plus…satisfaisant de sa condition d’homme.
Dans l’alchimie l’Art consiste à « accélérer » l’œuvre de Nature, n’est ce pas ?
Sur le sujet de votre citation appréciée de l’auteur de
“ Le nouvel inconscient Freud, Christophe Colomb des neurosciences.”
Ma réflexion :
Cette quête incessante de « l’objet » qui une fois obtenu ne tient pas ses promesses et nous conduit à poursuivre un autre but prend elle fin un jour ?
Sommes nous tous voués à être brisés, ou existe-t’ il une issue positive et heureuse à cette quasi aliénation ?
L’illusion est nécessaire.
Jusqu’au moment ou une personne prend conscience que la clochette qui résonne en lui de manière passagère
alors qu’il étreint l’objet tant convoité, trouve son lieu en lui même, qu’il peut s’en emparer et la mettre en mouvement indépendamment de tout objet.
Autre sujet :
Spagyrie etc… pour moi il est clair que c’est une impasse qui ne conduit à rien de significatif en terme de contentement.
Vous relevez que:
L’esprit universel fait un incessant double mouvement de montée de la terre vers le cosmos et de descente inverse
Oui c’est ça et c’est de cela dont je parle de capter avec la technique japonaise shinto (marche des fleurs).
Heureusement certaines techniques de grandes valeurs n’ont cessés d’être transmises.
A prendre ou à laisser….au choix !
Cependant, il convient de considérer que d’autres êtres humains se sont posés ces mêmes questions et que celle ci est le fruit d’une expérimentation qui dut prendre un certain temps ou siècles pour voir le jour.
Je n’insiste pas…
Métallurgie ou agriculture : nous sommes d’accord.
Merci pour votre travail, vos réflexions partagées, vos citations et références.
Bien à vous. Kunlun
kunlun- Nombre de messages : 51
Date d'inscription : 14/08/2010
Re: une clé
Bonjour à tous!
bonjour à vous, honorable Kunlun; bonjour Aube-Aurore, Calcédoine, Charly, et bonjour aux autres. Un bonjour particulier à Aliboron * et puis, un bonjour à tous les nouveaux arrivants.
.
Ça va comme vous voulez?
.
Bon, dans la longue (et très riche) réponse de Charly, je n'ai pas vu trace de sa réaction à la "marche des fleurs" Kunlunienne. Dommage! Notre époque manque tellement de personnes éclairées, que pour une fois qu'il y en a une qui passe dans le coin, c'est toujours un désappointement de la voir éclairer précisément là où l'on n'est pas. Quelle ironie!
Il y a sans doute un enseignement à tirer de cela... Oriental, d'ailleurs, sans doute...
Bien à vous
Ch...e
bonjour à vous, honorable Kunlun; bonjour Aube-Aurore, Calcédoine, Charly, et bonjour aux autres. Un bonjour particulier à Aliboron * et puis, un bonjour à tous les nouveaux arrivants.
.
Ça va comme vous voulez?
.
Bon, dans la longue (et très riche) réponse de Charly, je n'ai pas vu trace de sa réaction à la "marche des fleurs" Kunlunienne. Dommage! Notre époque manque tellement de personnes éclairées, que pour une fois qu'il y en a une qui passe dans le coin, c'est toujours un désappointement de la voir éclairer précisément là où l'on n'est pas. Quelle ironie!
Il y a sans doute un enseignement à tirer de cela... Oriental, d'ailleurs, sans doute...
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Ch...e
Chèvre- Nombre de messages : 350
Date d'inscription : 06/06/2009
Re: une clé
Kunlun, je ne comprends pas très bien ton explication de l’œuvre alchimique. Que veux-tu dire par « notre travail » (si travail il y a …) d’alchimie, ne consiste pas à faire mais plutôt à défaire ainsi que se défaire redonne place à la nature ?Kunlun a écrit:Je pense que « notre travail » (si travail il y a …) d’alchimie, ne consiste pas à faire mais plutôt à défaire.
Et le secret, si secret il y a, réside dans la manière.
Se défaire redonne la place à nature.
C’est tout l’œuvre alchimique.
Je te remercie d’avance pour tous les renseignements que tu voudras bien partager.
Amicalement,
Ludy
Ludivine- Nombre de messages : 220
Date d'inscription : 04/04/2010
Re: une clé
Bonjour Ludivine,
Ce que j’ai écrit, donnait suite à une partie des propos de Charly concernant la possibilité d’action qu’à l’individu de « se perfectionner ».
Il disait en substance que l’individu se heurte aux frontières de sa programmation.
Certes, néanmoins en l’être humain réside un espace qui n’a été enfanté ni d’une père ni d’une mère mais du mystère créatif de l’univers (à défaut d’autres mots…).
Sa nature originelle.
Hors cet espace est recouvert et assujetti par nos programmations (culturelles, génétiques, etc…).
Ces conditionnements sont de nature énergétiques et informationnels et peuvent être perçu à un certain niveau, dans l’organisation corporelle.
C’est aussi à se niveau, qu’ils peuvent être déliés.
C’est véritablement une dissolution.
Tout est dans le moyen de réaliser cette dissolution de ce que certains ont appelés la cuirasse corporelle ( W. Reich ).
Ce qui est très éprouvant.
Car ce faisant, les concepts valsent, tous les appuis psychiques se dérobent, et il est possible d’observer dans une certaine mesure comment sont lié le monde extérieur et le monde intérieur, car la nuit n’est alors pas seulement interne mais aussi externe.
C’est d’ailleurs pour cette raison que ce chemin est très peu emprunté et inconsciemment redouté.
Cependant, au delà, quelque chose prend forme.
Ce quelque chose favorise la santé de l’individu, et est donc perçu comme positif.
Sa nature échappe à toutes descriptions, c’est L’UN.
C’est un travail de nature électro-magnétique.
Il demande une très forte détermination, une certaine discipline, ainsi que des connaissances ou ressources très entendus dans de nombreux domaines.
La folie n’est pas exclue, compte tenu de la puissance des forces électro-magnétiques mises en œuvre.
D’abord, dans le cheminement vers ces étapes, il convient de trouver le lieu de la force dans le corps.
Dans un deuxième temps, de trouver les moyens de la déployer.
Ce qui peu prendre…un certain temps…
Bien à vous Kunlun
Ce que j’ai écrit, donnait suite à une partie des propos de Charly concernant la possibilité d’action qu’à l’individu de « se perfectionner ».
Il disait en substance que l’individu se heurte aux frontières de sa programmation.
Certes, néanmoins en l’être humain réside un espace qui n’a été enfanté ni d’une père ni d’une mère mais du mystère créatif de l’univers (à défaut d’autres mots…).
Sa nature originelle.
Hors cet espace est recouvert et assujetti par nos programmations (culturelles, génétiques, etc…).
Ces conditionnements sont de nature énergétiques et informationnels et peuvent être perçu à un certain niveau, dans l’organisation corporelle.
C’est aussi à se niveau, qu’ils peuvent être déliés.
C’est véritablement une dissolution.
Tout est dans le moyen de réaliser cette dissolution de ce que certains ont appelés la cuirasse corporelle ( W. Reich ).
Ce qui est très éprouvant.
Car ce faisant, les concepts valsent, tous les appuis psychiques se dérobent, et il est possible d’observer dans une certaine mesure comment sont lié le monde extérieur et le monde intérieur, car la nuit n’est alors pas seulement interne mais aussi externe.
C’est d’ailleurs pour cette raison que ce chemin est très peu emprunté et inconsciemment redouté.
Cependant, au delà, quelque chose prend forme.
Ce quelque chose favorise la santé de l’individu, et est donc perçu comme positif.
Sa nature échappe à toutes descriptions, c’est L’UN.
C’est un travail de nature électro-magnétique.
Il demande une très forte détermination, une certaine discipline, ainsi que des connaissances ou ressources très entendus dans de nombreux domaines.
La folie n’est pas exclue, compte tenu de la puissance des forces électro-magnétiques mises en œuvre.
D’abord, dans le cheminement vers ces étapes, il convient de trouver le lieu de la force dans le corps.
Dans un deuxième temps, de trouver les moyens de la déployer.
Ce qui peu prendre…un certain temps…
Bien à vous Kunlun
kunlun- Nombre de messages : 51
Date d'inscription : 14/08/2010
Re: une clé
Grand merci Kunlun.
Le cheminement Déstructuration/ Restructuration (Solve/Coagula), ça me fait aussi penser à ce que le Marcheur écrivait au sujet du processus initiatique : Mort/Résurrection
https://ora-et-labora.frenchboard.com/voies-initiatiques-f12/definition-de-l-initiation-t8.htm
Illustration :
Restructuration de la déstructuration : Salvador Dali peint son épouse Gala sous forme de sphères colorées alignées.
Dali – Galatée aux sphères (1952 – Musée Dali à Figueres, Catalogne, Espagne)
Amicalement,
Ludy
Le cheminement Déstructuration/ Restructuration (Solve/Coagula), ça me fait aussi penser à ce que le Marcheur écrivait au sujet du processus initiatique : Mort/Résurrection
https://ora-et-labora.frenchboard.com/voies-initiatiques-f12/definition-de-l-initiation-t8.htm
Illustration :
Restructuration de la déstructuration : Salvador Dali peint son épouse Gala sous forme de sphères colorées alignées.
Dali – Galatée aux sphères (1952 – Musée Dali à Figueres, Catalogne, Espagne)
Amicalement,
Ludy
Ludivine- Nombre de messages : 220
Date d'inscription : 04/04/2010
Re: une clé
Mea culpa, en effet ce que tu dis est extrêmement intéressant, et mon intervention précédente était assez acérée.... Mais rigolote... (Non ?...)
... Mais pas tout à fait gratuite, cependant. Désolé, je ne suis pas convaincu par tes descriptions.
(ça, il est possible de le dire ici sans être censuré. Mais est-ce plus 'soft' pour autant? Pas sur; en tout cas, c'est nettement moins marrant).
Bref: Affirmes-tu, Kunlun, avoir dépassé le 'virtuel' dans tes récoltes de rosée?
Autrement dit: les idées très intéressantes que tu avances ci-dessus: sont-elles un programme ou des constatations ?
Ces questions sont légitimes, si 'La Croisée des Chemins' n'est pas devenue 'La Croisée des Mirages'.
... Mais pas tout à fait gratuite, cependant. Désolé, je ne suis pas convaincu par tes descriptions.
(ça, il est possible de le dire ici sans être censuré. Mais est-ce plus 'soft' pour autant? Pas sur; en tout cas, c'est nettement moins marrant).
Bref: Affirmes-tu, Kunlun, avoir dépassé le 'virtuel' dans tes récoltes de rosée?
Autrement dit: les idées très intéressantes que tu avances ci-dessus: sont-elles un programme ou des constatations ?
Ces questions sont légitimes, si 'La Croisée des Chemins' n'est pas devenue 'La Croisée des Mirages'.
Chèvre- Nombre de messages : 350
Date d'inscription : 06/06/2009
Re: une clé
Bonsoir tout le monde !
J'ai cru comprendre que sur ce fil, Kunlun proposait une clé. Un exercice-clé. Est-il question d'être convaincu de quoi que ce soit… par des mots ?
Il me semble que la meilleure façon d'envisager l'efficacité d'une clé, c'est de l'utiliser, de vérifier si elle ouvre ou non l'une ou l'autre porte. C'est la différence entre serrurerie opérative et serrurerie spéculative : on essaie la clé sur une serrure, ou bien on en disserte des jours entiers ?
La clé n'ouvre-t-elle rien dans l'espace qui constitue mon environnement ? Eh ben tant pis : c'est que cette clé n'est pas pour moi.
Peut-être sera-t-elle utile à quelqu'un d'autre, ailleurs.
Ou peut-être pas.
Aube-Aurore me paraît adopter la bonne attitude : pourquoi ne pas essayer, puisque c'est sans engagement, et sans risque ?
Ce n'est pas comme s'aliéner dans une secte, ou inhaler des substances dangereuses qui pourraient porter préjudice : il s'agit juste de pratiquer quelques gestes anodins dans un environnement favorable et de chercher à percevoir s'il y a quelque chose à percevoir, sans s'autosuggestionner. Où est le problème ?
Libre à chacun de jeter dans le fleuve profond les clés qu'il reçoit. Mais alors, il s'agit d'assumer ce choix, et de ne pas venir se plaindre que les portes restent fermées. C'est logique.
Est-ce nécessaire ?Chèvre a écrit:Désolé, je ne suis pas convaincu par tes descriptions.
J'ai cru comprendre que sur ce fil, Kunlun proposait une clé. Un exercice-clé. Est-il question d'être convaincu de quoi que ce soit… par des mots ?
Il me semble que la meilleure façon d'envisager l'efficacité d'une clé, c'est de l'utiliser, de vérifier si elle ouvre ou non l'une ou l'autre porte. C'est la différence entre serrurerie opérative et serrurerie spéculative : on essaie la clé sur une serrure, ou bien on en disserte des jours entiers ?
La clé n'ouvre-t-elle rien dans l'espace qui constitue mon environnement ? Eh ben tant pis : c'est que cette clé n'est pas pour moi.
Peut-être sera-t-elle utile à quelqu'un d'autre, ailleurs.
Ou peut-être pas.
Aube-Aurore me paraît adopter la bonne attitude : pourquoi ne pas essayer, puisque c'est sans engagement, et sans risque ?
Ce n'est pas comme s'aliéner dans une secte, ou inhaler des substances dangereuses qui pourraient porter préjudice : il s'agit juste de pratiquer quelques gestes anodins dans un environnement favorable et de chercher à percevoir s'il y a quelque chose à percevoir, sans s'autosuggestionner. Où est le problème ?
Libre à chacun de jeter dans le fleuve profond les clés qu'il reçoit. Mais alors, il s'agit d'assumer ce choix, et de ne pas venir se plaindre que les portes restent fermées. C'est logique.
Garfield- Nombre de messages : 176
Age : 43
Date d'inscription : 20/07/2008
Re: une clé
Il n’y as pas de problèmes Chèvre, à chacun sa personnalité et son expression.
Cependant il est un fait reconnu que la cordialité est d'avantage propice à de fructueux échanges.
C’est un plaisir d’être parmi vous, de communiquer sur ces sujets qui nous rassemblent.
Il est compréhensible qu’il puisse y avoir interrogations sur les motivations des uns et des autres.
Je m’interroge moi même sur les raisons qui me conduisent à vous rejoindre, sans doute un sentiment fraternel…(à creuser…)
Pour te répondre Chèvre, je dirai que :
la vie est courte, et qui sait quand sonnera l’heure de se retirer ?
Qu’attend de nous ici bas la puissance créatrice qui nous as créé ?
A chacun sa réponse, la mienne : une coopération totale visant à l’expression la plus achevée de notre nature essentielle.
C’est dans cette direction que j’ai résolument dirigé mes pas.
Ce dont je parle c’est le fruit de mon expérience, d’expérimentations successives.
N’ayant pas souhaité de maître, la seule manière de me préserver d’une errance trop longue, fût de soumettre mes postulats à l’épreuve des faits, du quotidien, du réel.
En somme, mon propos est d’attirer votre attention sur le fait que croyances, théories et postulats philosophiques sur le sujet de l’alchimie ont grand intérêt à trouver un terrain d’expression dans l’expérimentation.
Que cela est même une nécessité compte tenu, du temps qui...nous consume.
Afin de vous garder d’un fruit trop amer, engendrée d’une graine de foi. (Ce que j’ai vu malheureusement trop souvent).
Bien à vous Kunlun
Cependant il est un fait reconnu que la cordialité est d'avantage propice à de fructueux échanges.
C’est un plaisir d’être parmi vous, de communiquer sur ces sujets qui nous rassemblent.
Il est compréhensible qu’il puisse y avoir interrogations sur les motivations des uns et des autres.
Je m’interroge moi même sur les raisons qui me conduisent à vous rejoindre, sans doute un sentiment fraternel…(à creuser…)
Pour te répondre Chèvre, je dirai que :
la vie est courte, et qui sait quand sonnera l’heure de se retirer ?
Qu’attend de nous ici bas la puissance créatrice qui nous as créé ?
A chacun sa réponse, la mienne : une coopération totale visant à l’expression la plus achevée de notre nature essentielle.
C’est dans cette direction que j’ai résolument dirigé mes pas.
Ce dont je parle c’est le fruit de mon expérience, d’expérimentations successives.
N’ayant pas souhaité de maître, la seule manière de me préserver d’une errance trop longue, fût de soumettre mes postulats à l’épreuve des faits, du quotidien, du réel.
En somme, mon propos est d’attirer votre attention sur le fait que croyances, théories et postulats philosophiques sur le sujet de l’alchimie ont grand intérêt à trouver un terrain d’expression dans l’expérimentation.
Que cela est même une nécessité compte tenu, du temps qui...nous consume.
Afin de vous garder d’un fruit trop amer, engendrée d’une graine de foi. (Ce que j’ai vu malheureusement trop souvent).
Bien à vous Kunlun
kunlun- Nombre de messages : 51
Date d'inscription : 14/08/2010
Re: une clé
Bonjour
A supposer que certains auraient la curiosité de mettre en œuvre la fameuse clé en question, j'ai pensé que ce document pouvait leur être utile.
Vous noterez la position correcte des bras de "la marche des fleurs" dans la figure 6.
Cette image décrit une forme de méditation assez puissante, la méditation dix positions provenant d'une école de méditation japonaise appelée Shintaïdo (nouvelle voie du corps) une création des années 60/70 ou la démarche fût de rassembler les meilleures techniques de développements issues principalement du Budo et du bouddhisme ésotérique.
Notez que je présente cette image non pour vous convertir à la méditation dix positions qui est une approche assez exigeante, mais pour que ceux qui souhaiteraient expérimenter la fameuse clé puisse ici trouver des informations complémentaires...
Bien à vous Kunlun
A supposer que certains auraient la curiosité de mettre en œuvre la fameuse clé en question, j'ai pensé que ce document pouvait leur être utile.
Vous noterez la position correcte des bras de "la marche des fleurs" dans la figure 6.
Cette image décrit une forme de méditation assez puissante, la méditation dix positions provenant d'une école de méditation japonaise appelée Shintaïdo (nouvelle voie du corps) une création des années 60/70 ou la démarche fût de rassembler les meilleures techniques de développements issues principalement du Budo et du bouddhisme ésotérique.
Notez que je présente cette image non pour vous convertir à la méditation dix positions qui est une approche assez exigeante, mais pour que ceux qui souhaiteraient expérimenter la fameuse clé puisse ici trouver des informations complémentaires...
Bien à vous Kunlun
kunlun- Nombre de messages : 51
Date d'inscription : 14/08/2010
Re: une clé
Bonjour
“ Bon, dans la longue (et très riche) réponse de Charly, je n'ai pas vu trace de sa réaction à la "marche des fleurs" Kunlunienne. Dommage! Notre époque manque tellement de personnes éclairées, que pour une fois qu'il y en a une qui passe dans le coin, c'est toujours un désappointement de la voir éclairer précisément là où l'on n'est pas. Quelle ironie !”
C’est curieux Chèvre de te trouver sur tous les forums où l’on parle d’alchimie, l’invective à la bouche, et confirmer peu après que tu n'y comprends rien (à l’alchimie). Je serai donc, selon toi, une “personne éclairée”, la seule “qui passe dans le coin”, sympa pour les autres !
Il y a énormément de domaines qui m’intéressent et où je n’ai nulle maîtrise (si tant est que j’en maîtrise un !), où je prends des notes et pose des questions sans agressivité qui m'empoisonnerait l'esprit.
Ceci étant dit, ayant cru comprendre que Kunlun nous proposait une “clé” par un exercice visant à accroitre la réception d’une énergie appelée mercure ,ou prana en d’autres lieux, il m’avait semblé être pleinement dans le sujet en essayant de montrer quelque peu ce qu’était l’alchimie des anciens et l ‘ “alchimie” fulcanellienne qui sévit sous nos climats depuis des lustres.
Or j’avais trouvé que la confusion dans son propos était énorme, et sans doute dois-je y revenir ? :
“ Il s'agit d'une marche méditative permettant de recueillir la rosée, de faire du St Esprit une réalité tangible ce qui est absolument nécessaire à la pénétration d'un texte.
Sans le St Esprit le texte demeure scellé.”
Certes si l’on accepte la terminologie chrétienne "sans le St Esprit le texte demeure scellé", mais en aucun cas cette “marche méditative”, ou quelque exercice que se soit, ne peut donner autre chose qu’un apport énergétique accru sous forme de mercure ou de prana. On ne peut pas FAIRE du St Esprit “une réalité tangible”, le “donum dei”, la grâce, l’amour et l’éveil, viennent “comme un voleur “ à notre insu, ne peuvent se provoquer par “notre” volonté, nous ne pouvons que nous mettre en état d'humble (au vu du cadeau !) réceptivité pour leur obtention. C’est du moins l’optique du christianisme et de l’alchimie, et cet arcane est considérable.
Nul besoin de frôler la folie en pratiquant des exercices intenses, le “développement personnel” qui ravage la contrée, ne pouvant que développer des “états de conscience” et des boursouflements égotiques, car nous ne sommes pas ce corps, mais ce qui l’a produit et qui “alimente” l’univers entier, univers produit par les pensées.
Nous ne sommes pas un "état de conscience" mais sa source : une conscience sans “état”, pas une “conscience de” quelque chose. Il suffit de se calmer suffisamment pour calmer ces pensées (que nous faisons notres), et dans l’intervalle entre deux pensées, la grâce peut survenir qui est la connaissance que donne l’amour. Je l’ai expérimenté cet état de réceptivité totale, je porte témoignage de sa réalité, mais par manque de générosité, d'humilité... il ne s'est pas " fixé ". On ne peut évidemment pas fixer un “état de conscience” qui est né, parce ce que tout ce qui naît meurt. Je suis la source éternelle - parce que non-née - de tous les états de conscience, la lumière qui éclaire le film du cinémoi !
On peut comprendre qu’être le lieu de passage de toute l’énergie créatrice ne peut pas se provoquer, on l'est de toute éternité. Mais en effet, Chêvre, j’ai échoué dans mon projet de clarification du sujet puisque Kunlun reconnait dans un autre post : “Deux principes fondamentaux” que :
" j’ai indiqué dans mon post « une clé et ce pour information, « un moyen éprouvé et fiable afin de capter cette qualité electro-magnétique particulière provenant du cosmos."
Quid de l’Esprit-saint ?
Je reprends la formulation suivante de Kunlun, non pour le convaincre (que cela n’a rien à voir avec l’alchimie !) mais comme support de réflexion pour d’éventuels “autres” lecteurs :
“ néanmoins en l’être humain réside un espace qui n’a été enfanté ni d’une père ni d’une mère mais du mystère créatif de l’univers (à défaut d’autres mots…).
Sa nature originelle.
Hors cet espace est recouvert et assujetti par nos programmations (culturelles, génétiques, etc…).
Ces conditionnements sont de nature énergétiques et informationnels et peuvent être perçu à un certain niveau, dans l’organisation corporelle.”
Tout est dans le moyen de réaliser cette dissolution de ce que certains ont appelés la cuirasse corporelle ( W. Reich ).”
Le seul espace qui peut être vu en l’être humain est celui de la conscience entre deux pensées, elle n'est pas née en effet d'une mère et d'un père, cette conscience est le contenant de tout l'univers et de notre corps bien sur. La pensée dualisante, qui crée la matrice de l’espace-temps, crée cette “cuirasse corporelle” et tout ce qu’on peut mettre à l’intérieur. Nous n’avons pas à nous identifier à cette cuirasse, inutile de chercher à agir sur elle, ce qui serait en effet très éprouvant, Kunlun dixit :
“ Ce qui est très éprouvant. Car ce faisant, les concepts valsent, tous les appuis psychiques se dérobent, et il est possible d’observer dans une certaine mesure comment sont lié le monde extérieur et le monde intérieur, car la nuit n’est alors pas seulement interne mais aussi externe.
C’est d’ailleurs pour cette raison que ce chemin est très peu emprunté et inconsciemment redouté.”
Nous ne pouvons être ce que nous pouvons voir, ce qui tombe sous le(s) sens, nous sommes la Vie éternelle qui anime des formes VIDES par dissolutions et coagulations incessantes, pourquoi s’inquiéter pour ce corps si fragile et si provisoire, ce n’est que le moyen que se donne le mental pour garder sa suprématie et donc notre aliénation. Comme dit Bernard, un éveillé : "Des gens disent qu'ils sont mal dans leur peau, mais comment pourrait-on se sentir bien dans un truc si fragile et si provisoire " ! Là, le développement personnel avec ses : "accroissez votre potentiel de ..." en prend un coup.
Je préfère méditer sur les merveilles de la Nature que me donne la méditation alchimique, laisser passer le double mouvement de “ l’âme du monde ”, cela me calme, me permettant parfois de m’éveiller à ma propre source, voila ce que je voulais partager cette nuit.
Cordialement,
C...a
“ Bon, dans la longue (et très riche) réponse de Charly, je n'ai pas vu trace de sa réaction à la "marche des fleurs" Kunlunienne. Dommage! Notre époque manque tellement de personnes éclairées, que pour une fois qu'il y en a une qui passe dans le coin, c'est toujours un désappointement de la voir éclairer précisément là où l'on n'est pas. Quelle ironie !”
C’est curieux Chèvre de te trouver sur tous les forums où l’on parle d’alchimie, l’invective à la bouche, et confirmer peu après que tu n'y comprends rien (à l’alchimie). Je serai donc, selon toi, une “personne éclairée”, la seule “qui passe dans le coin”, sympa pour les autres !
Il y a énormément de domaines qui m’intéressent et où je n’ai nulle maîtrise (si tant est que j’en maîtrise un !), où je prends des notes et pose des questions sans agressivité qui m'empoisonnerait l'esprit.
Ceci étant dit, ayant cru comprendre que Kunlun nous proposait une “clé” par un exercice visant à accroitre la réception d’une énergie appelée mercure ,ou prana en d’autres lieux, il m’avait semblé être pleinement dans le sujet en essayant de montrer quelque peu ce qu’était l’alchimie des anciens et l ‘ “alchimie” fulcanellienne qui sévit sous nos climats depuis des lustres.
Or j’avais trouvé que la confusion dans son propos était énorme, et sans doute dois-je y revenir ? :
“ Il s'agit d'une marche méditative permettant de recueillir la rosée, de faire du St Esprit une réalité tangible ce qui est absolument nécessaire à la pénétration d'un texte.
Sans le St Esprit le texte demeure scellé.”
Certes si l’on accepte la terminologie chrétienne "sans le St Esprit le texte demeure scellé", mais en aucun cas cette “marche méditative”, ou quelque exercice que se soit, ne peut donner autre chose qu’un apport énergétique accru sous forme de mercure ou de prana. On ne peut pas FAIRE du St Esprit “une réalité tangible”, le “donum dei”, la grâce, l’amour et l’éveil, viennent “comme un voleur “ à notre insu, ne peuvent se provoquer par “notre” volonté, nous ne pouvons que nous mettre en état d'humble (au vu du cadeau !) réceptivité pour leur obtention. C’est du moins l’optique du christianisme et de l’alchimie, et cet arcane est considérable.
Nul besoin de frôler la folie en pratiquant des exercices intenses, le “développement personnel” qui ravage la contrée, ne pouvant que développer des “états de conscience” et des boursouflements égotiques, car nous ne sommes pas ce corps, mais ce qui l’a produit et qui “alimente” l’univers entier, univers produit par les pensées.
Nous ne sommes pas un "état de conscience" mais sa source : une conscience sans “état”, pas une “conscience de” quelque chose. Il suffit de se calmer suffisamment pour calmer ces pensées (que nous faisons notres), et dans l’intervalle entre deux pensées, la grâce peut survenir qui est la connaissance que donne l’amour. Je l’ai expérimenté cet état de réceptivité totale, je porte témoignage de sa réalité, mais par manque de générosité, d'humilité... il ne s'est pas " fixé ". On ne peut évidemment pas fixer un “état de conscience” qui est né, parce ce que tout ce qui naît meurt. Je suis la source éternelle - parce que non-née - de tous les états de conscience, la lumière qui éclaire le film du cinémoi !
On peut comprendre qu’être le lieu de passage de toute l’énergie créatrice ne peut pas se provoquer, on l'est de toute éternité. Mais en effet, Chêvre, j’ai échoué dans mon projet de clarification du sujet puisque Kunlun reconnait dans un autre post : “Deux principes fondamentaux” que :
" j’ai indiqué dans mon post « une clé et ce pour information, « un moyen éprouvé et fiable afin de capter cette qualité electro-magnétique particulière provenant du cosmos."
Quid de l’Esprit-saint ?
Je reprends la formulation suivante de Kunlun, non pour le convaincre (que cela n’a rien à voir avec l’alchimie !) mais comme support de réflexion pour d’éventuels “autres” lecteurs :
“ néanmoins en l’être humain réside un espace qui n’a été enfanté ni d’une père ni d’une mère mais du mystère créatif de l’univers (à défaut d’autres mots…).
Sa nature originelle.
Hors cet espace est recouvert et assujetti par nos programmations (culturelles, génétiques, etc…).
Ces conditionnements sont de nature énergétiques et informationnels et peuvent être perçu à un certain niveau, dans l’organisation corporelle.”
Tout est dans le moyen de réaliser cette dissolution de ce que certains ont appelés la cuirasse corporelle ( W. Reich ).”
Le seul espace qui peut être vu en l’être humain est celui de la conscience entre deux pensées, elle n'est pas née en effet d'une mère et d'un père, cette conscience est le contenant de tout l'univers et de notre corps bien sur. La pensée dualisante, qui crée la matrice de l’espace-temps, crée cette “cuirasse corporelle” et tout ce qu’on peut mettre à l’intérieur. Nous n’avons pas à nous identifier à cette cuirasse, inutile de chercher à agir sur elle, ce qui serait en effet très éprouvant, Kunlun dixit :
“ Ce qui est très éprouvant. Car ce faisant, les concepts valsent, tous les appuis psychiques se dérobent, et il est possible d’observer dans une certaine mesure comment sont lié le monde extérieur et le monde intérieur, car la nuit n’est alors pas seulement interne mais aussi externe.
C’est d’ailleurs pour cette raison que ce chemin est très peu emprunté et inconsciemment redouté.”
Nous ne pouvons être ce que nous pouvons voir, ce qui tombe sous le(s) sens, nous sommes la Vie éternelle qui anime des formes VIDES par dissolutions et coagulations incessantes, pourquoi s’inquiéter pour ce corps si fragile et si provisoire, ce n’est que le moyen que se donne le mental pour garder sa suprématie et donc notre aliénation. Comme dit Bernard, un éveillé : "Des gens disent qu'ils sont mal dans leur peau, mais comment pourrait-on se sentir bien dans un truc si fragile et si provisoire " ! Là, le développement personnel avec ses : "accroissez votre potentiel de ..." en prend un coup.
Je préfère méditer sur les merveilles de la Nature que me donne la méditation alchimique, laisser passer le double mouvement de “ l’âme du monde ”, cela me calme, me permettant parfois de m’éveiller à ma propre source, voila ce que je voulais partager cette nuit.
Cordialement,
C...a
Charly Alverda- Nombre de messages : 534
Date d'inscription : 02/10/2008
Re: une clé
Bon, nous sommes donc bien d'accord : autant y aller mollo sur la Marche des fleurs.
(PS: je n'ai pas dit que tu étais 'la seule' personne éclairée à fréquenter ces lieux; j'ai dit que c'était rare, nuance. Malheureusement, tu prends tout mal... ).
(PS: je n'ai pas dit que tu étais 'la seule' personne éclairée à fréquenter ces lieux; j'ai dit que c'était rare, nuance. Malheureusement, tu prends tout mal... ).
Chèvre- Nombre de messages : 350
Date d'inscription : 06/06/2009
Re: une clé
Bonjour à tous
Je vous quitte, ayant exprimé ce que j'avais à dire, et n’ayant pas au delà, le goût de jouer avec ou sur les mots.
Avant de vous quitter, j’ai souhaité partager avec vous une liste d’ouvrage traitant de techniques (de pratiques concrètes donc…) qu’il me semble utile de connaître.
Comme :
- "Do-in" Clara Truchot le courrier du livre
Cette pratique millénaire, (faites vous un enregistrement) permet de se sensibiliser avec l’énergie d'une manière saine.
- "Le système complet d’autoguérison"
Dr Stephen T . Chang
Pratiquer Exercice du Cerf, Grue, Tortue.
Et plus si affinités..
- « Cultiver l’énergie de la Vie » (Hui-Ming Ching)
Liu Hua-Yang
Je conseille très vivement de prendre connaissance des techniques d’auto hypnose actuelles dérivant de l’approche Eriksonnienne comme les ouvrages de Kevin Finel de l’Arche.
Pour le Deir, le système russe de développement énergétique et informationnel mis à jour par les scientifiques russes :
- « Libération » de Verichagin
Enfin pour ceux qui sont prêt à entrer dans une ascèse
-" Kunlun, pratiques oubliées d’éveil de soi".
Max Christensen
Ce fut un plaisir
Salutations Kunlun
Je vous quitte, ayant exprimé ce que j'avais à dire, et n’ayant pas au delà, le goût de jouer avec ou sur les mots.
Avant de vous quitter, j’ai souhaité partager avec vous une liste d’ouvrage traitant de techniques (de pratiques concrètes donc…) qu’il me semble utile de connaître.
Comme :
- "Do-in" Clara Truchot le courrier du livre
Cette pratique millénaire, (faites vous un enregistrement) permet de se sensibiliser avec l’énergie d'une manière saine.
- "Le système complet d’autoguérison"
Dr Stephen T . Chang
Pratiquer Exercice du Cerf, Grue, Tortue.
Et plus si affinités..
- « Cultiver l’énergie de la Vie » (Hui-Ming Ching)
Liu Hua-Yang
Je conseille très vivement de prendre connaissance des techniques d’auto hypnose actuelles dérivant de l’approche Eriksonnienne comme les ouvrages de Kevin Finel de l’Arche.
Pour le Deir, le système russe de développement énergétique et informationnel mis à jour par les scientifiques russes :
- « Libération » de Verichagin
Enfin pour ceux qui sont prêt à entrer dans une ascèse
-" Kunlun, pratiques oubliées d’éveil de soi".
Max Christensen
Ce fut un plaisir
Salutations Kunlun
kunlun- Nombre de messages : 51
Date d'inscription : 14/08/2010
Re: une clé
Bonjour Kunlun
Jouer avec les mots j'adore, sur les mots pas du tout, comme toi ! J'avoue ne pas avoir compris le sens de ta démarche dans la rubrique : Alchimie ?
Tu penses vraiment que l'alchimie serait compatible avec des techniques de développement personnel ? Jamais un alchimiste véritable pourrait valider le concept d'un Esprit-sain électro-magnétique !?
Quelle que soit ta décision, sache que j'adore le dialogue vrai, un dialogue de type platonicien (sourire)
Cordialement,
C...a
Jouer avec les mots j'adore, sur les mots pas du tout, comme toi ! J'avoue ne pas avoir compris le sens de ta démarche dans la rubrique : Alchimie ?
Tu penses vraiment que l'alchimie serait compatible avec des techniques de développement personnel ? Jamais un alchimiste véritable pourrait valider le concept d'un Esprit-sain électro-magnétique !?
Quelle que soit ta décision, sache que j'adore le dialogue vrai, un dialogue de type platonicien (sourire)
Cordialement,
C...a
Charly Alverda- Nombre de messages : 534
Date d'inscription : 02/10/2008
Re: une clé
Mais les comètes d'août sont peut être un phénomène électromagnétique... ?
Logos- Nombre de messages : 551
Date d'inscription : 23/12/2009
Re: une clé
Bonjour
Certes Logos, tout le sensible peut être vu comme substance electromagnétique, mais l'alchimie considère la substance ET l'essence. Au bout de la chaîne, ce qui a créé la comète est l'essence incréée, qui n'a pas de nom, ou tous les noms. Ne pas en tenir compte dans l'équation et il ne reste plus que de la chimie, de l'electomagnetisme... seule l'écorce est vue, justifiant des "développements personnels".
Comme dit Godel :
" MENON : Votre théorie moderne est une fiction commode. Elle remplit une fonction indispensable parce qu'elle fournit un support provisoire à la pensée. L'intellect ne pouvant opérer dans le vide de l'abstraction pure, se donne des images subtiles. On aurait tort de les prendre trop au sérieux. Je reconnais à ces créations la même valeur qu'à nos mythes ; leur imagerie pointe dans la direction d'une réalité en elle-même informulable...
...Mais la vérité est autre. Pour en atteindre authentiquement l'au-delà, il faut laisser les formes, si subtiles soient-elles, s'effacer.
Au cours du dialogue, vous avez fait une remarque dont l'importance xn'a frappé. Cela revient à dire ceci : l'étude du champ d'observation nous livre des lois ; dans leur énoncé réside l'intelligibilité du champ ; mais on doit reconnaître aussi, à travers leur formulation, un attribut propre à ce champ. Et ma pensée formulante - comme, d'ailleurs, mon être entier - est une particularité du champ se révélant à lui-même en termes de conscience mentale. Je suis cela : l'observateur, l'instrument et l'objet d'observation tout à la fois. Notre cerveau en fonction est une singularité du cosmos. Il porte dans l'intimité de sa structure l'inscription de la loi qui a procédé à sa genèse et dont il est l'expression vivante. En déchiffrant le monde, il se déchiffre lui-même, car la loi cosmique figure dans son plan d'organisation. Elle est manifeste dans l'arrangement du réseau et dans son jeu fonctionnel aux degrés infinis de liberté.
Un authentique chercheur s'arrête-t-il jamais en chemin ? D'étape en étape, il corrige et reconstruit la dialectique de sa recherche. Semblable au «champ » dont il explore les phénomènes, lui-même est polarisé ; son attention, entraînée par l'irrésistible exigence de la vérité, oscille entre l'objet et le sujet, entre les observables et l'observateur. Elle passe de l'examen des faits objectifs à la méditation. Finira-t-elle par découvrir, sous l'infrastructure des formulations changeantes, la Loi des lois ?
LE PHYSICIEN. - J'hésite à croire qu'il existe réellement une Loi des lois, vérité dernière. Cependant admettons' à titre d'hypothèse, que cette entité existe, serait-elle accessible à notre investigation ?
MENON. - Pour l'atteindre, il faut nécessairement substituer aux outils ordinaires de nature mentale un instrument de pénétration plus aigu. Nous savions cela au temps de Socrate et de Platon, c'était une notion élémentaire. Aussi avions-nous recours à l'épistémé, à la noésis pour atteindre la Vérité - l'Alethéia.
Cordialement,
C...a
Certes Logos, tout le sensible peut être vu comme substance electromagnétique, mais l'alchimie considère la substance ET l'essence. Au bout de la chaîne, ce qui a créé la comète est l'essence incréée, qui n'a pas de nom, ou tous les noms. Ne pas en tenir compte dans l'équation et il ne reste plus que de la chimie, de l'electomagnetisme... seule l'écorce est vue, justifiant des "développements personnels".
Comme dit Godel :
" MENON : Votre théorie moderne est une fiction commode. Elle remplit une fonction indispensable parce qu'elle fournit un support provisoire à la pensée. L'intellect ne pouvant opérer dans le vide de l'abstraction pure, se donne des images subtiles. On aurait tort de les prendre trop au sérieux. Je reconnais à ces créations la même valeur qu'à nos mythes ; leur imagerie pointe dans la direction d'une réalité en elle-même informulable...
...Mais la vérité est autre. Pour en atteindre authentiquement l'au-delà, il faut laisser les formes, si subtiles soient-elles, s'effacer.
Au cours du dialogue, vous avez fait une remarque dont l'importance xn'a frappé. Cela revient à dire ceci : l'étude du champ d'observation nous livre des lois ; dans leur énoncé réside l'intelligibilité du champ ; mais on doit reconnaître aussi, à travers leur formulation, un attribut propre à ce champ. Et ma pensée formulante - comme, d'ailleurs, mon être entier - est une particularité du champ se révélant à lui-même en termes de conscience mentale. Je suis cela : l'observateur, l'instrument et l'objet d'observation tout à la fois. Notre cerveau en fonction est une singularité du cosmos. Il porte dans l'intimité de sa structure l'inscription de la loi qui a procédé à sa genèse et dont il est l'expression vivante. En déchiffrant le monde, il se déchiffre lui-même, car la loi cosmique figure dans son plan d'organisation. Elle est manifeste dans l'arrangement du réseau et dans son jeu fonctionnel aux degrés infinis de liberté.
Un authentique chercheur s'arrête-t-il jamais en chemin ? D'étape en étape, il corrige et reconstruit la dialectique de sa recherche. Semblable au «champ » dont il explore les phénomènes, lui-même est polarisé ; son attention, entraînée par l'irrésistible exigence de la vérité, oscille entre l'objet et le sujet, entre les observables et l'observateur. Elle passe de l'examen des faits objectifs à la méditation. Finira-t-elle par découvrir, sous l'infrastructure des formulations changeantes, la Loi des lois ?
LE PHYSICIEN. - J'hésite à croire qu'il existe réellement une Loi des lois, vérité dernière. Cependant admettons' à titre d'hypothèse, que cette entité existe, serait-elle accessible à notre investigation ?
MENON. - Pour l'atteindre, il faut nécessairement substituer aux outils ordinaires de nature mentale un instrument de pénétration plus aigu. Nous savions cela au temps de Socrate et de Platon, c'était une notion élémentaire. Aussi avions-nous recours à l'épistémé, à la noésis pour atteindre la Vérité - l'Alethéia.
Cordialement,
C...a
Charly Alverda- Nombre de messages : 534
Date d'inscription : 02/10/2008
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