Le Rapport Fulcanelli (Ad. N.)
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Re: Le Rapport Fulcanelli (Ad. N.)
Oui, pas d'ISBN.Antoine de L'Aigle a écrit:
C'est curieux, Walter, ce que tu nous dit : pas d'ISBN ? Le mien compte des pages en double ou des pages collées : les exemplaires diffusés seraient donc différents ? Les comparaisons entre exemplaires seraient intéressantes : une enquête style "Neuvième Porte" pour trouver la vérité finale ?...
Fulgrosse- Nombre de messages : 12
Age : 47
Date d'inscription : 21/09/2013
Re: Le Rapport Fulcanelli (Ad. N.)
Bonjour Walter,
Au temps pour moi : après vérification, mon propre exemplaire ne comporte, lui non plus, aucune mention d'ISBN. L'exemplaire de Nelly serait-il le seul à l'avoir ?
J'ajoute que la mention de copyright "Sop.ant.univers-cité.ad.n" ne correspond pas à grand chose (sur un plan juridico-administratif)...
AdlA
Au temps pour moi : après vérification, mon propre exemplaire ne comporte, lui non plus, aucune mention d'ISBN. L'exemplaire de Nelly serait-il le seul à l'avoir ?
J'ajoute que la mention de copyright "Sop.ant.univers-cité.ad.n" ne correspond pas à grand chose (sur un plan juridico-administratif)...
AdlA
Antoine de L'Aigle- Nombre de messages : 6
Age : 69
Date d'inscription : 18/09/2013
Re: Le Rapport Fulcanelli (Ad. N.)
Bonjour Antoine, bonjour Fulgrosse, bonjour à tous. Je suis étonnée de découvrir qu'il y aurait plusieurs versions légèrement différentes du "Rapport Fulcanelli", et que mon exemplaire serait le seul à mentionner l'ISBN !
Nous parlons ici d'un exemplaire sur trois, c'est un échantillon un peu faible pour en tirer des généralités !
Je me souviens avoir lu quelque part qu'il était question de deux lots, ou de deux caisses de fascicules. Se pourrait-il que des corrections aient été apportées entre deux tirages (voire plus de deux) ? Ou qu'un lot ait été imprimé avant que le numéro d'ISBN ait été connu ? Quoiqu'il en soit, comme le dit Antoine :
Pour ma part, je n'envisage pas d'investir la moindre énergie dans cette chasse aux fantômes. Si l'auteur a souhaité l'anonymat, j'entends bien respecter son choix et le laisser vivre sa vie en paix.
Nous parlons ici d'un exemplaire sur trois, c'est un échantillon un peu faible pour en tirer des généralités !
Je me souviens avoir lu quelque part qu'il était question de deux lots, ou de deux caisses de fascicules. Se pourrait-il que des corrections aient été apportées entre deux tirages (voire plus de deux) ? Ou qu'un lot ait été imprimé avant que le numéro d'ISBN ait été connu ? Quoiqu'il en soit, comme le dit Antoine :
De plus, cette anecdote nous éloigne de l'essentiel : le fond du dossier.beaucoup d'énergie à dépenser pour pas grand chose, en fin de compte, non ?...
Pour ma part, je n'envisage pas d'investir la moindre énergie dans cette chasse aux fantômes. Si l'auteur a souhaité l'anonymat, j'entends bien respecter son choix et le laisser vivre sa vie en paix.
Nelly Foulcat- Nombre de messages : 108
Date d'inscription : 03/10/2008
Le Rapport Fulcanelli
Moi non plus, mon exemplaire ne porte aucune mention d'ISBN. Malgré les efforts louables de Fullgrosse pour trouver une logique au numéro ISBN qui figurait sur certains exemplaires, je crois qu'il ne faut pas en chercher, si ce n'est que cette publication, qui aurait, selon sa page 4, été appelée de ses voeux par un collectif de chercheurs de Sophia A., se devait, en toute rigueur, d'en posséder un. La modestie des moyens employés ne me parait pas pencher en faveur de la solidité de cette piste, quand on connait les moyens matériels et financiers dont disposent les plus humbles de ces dits chercheurs, dans ce Temple tout particulier de la Recherche Avancée dans sa vitrine des Alpes maritimes...
Ce qui m'a davantage dérangé à la lecture du rapport, c'est l'allergie, a priori viscérale, que semble afficher le rédacteur agissant pour le compte dudit groupe "Sop.ant ... ad-n" vis-à-vis de la Franc-Maçonnerie : il y aurait les auteurs fréquentables d'un côté, traçant leur sillon dans le prolongement œcuménique du bon Maître de Savignies, et de l'autre côté, le détestable, car effrontément FM, Robert Ambelain qui n'aurait cessé d'égarer ses lecteurs sur de fausses pistes. Etonnant pour un collectif de chercheurs contemporain, qui devrait, a priori, se tenir prudemment éloigné de ce genre de chamailleries si pénibles tout au long des siècles passés, en particulier au début du XXème. Il me semblait que cette page sombre de l'ésotérisme n'allait plus désormais refaire flores au XXIème. Comme on peut se tromper !
Le secrétaire dudit "groupe" va même jusqu'à incorporer dans le groupe des "détestables" FM, l'auteure du Fulcanelli Dévoilé, qui, je crois, s'en est publiquement et rapidement défendu. C'est plus difficile aujourd'hui pour Ambelain... et il est facile de tirer sur le pianiste quand son droit de réponse s'est éteint en même temps que ses cendres (!).
Pour ma part, je n'ai pas trouvé ailleurs que dans l'ouvrage Fulcanelli Dévoilé, sur lequel le "grand collège" de chercheurs Sop.ant.univers-cité.ad-n semble accepter que l'on tire à boulets rouges, l'idée que le Mystère des Cathédrales et les Demeures Philosophales auraient pu être écrits en petit groupe, justement, de façon collégiale entre trois, voire quatre co-auteurs. L'idée du nominatif pluriel Fulcanelli, m'avait d'ailleurs presque convaincu à l'époque que cette piste était des plus sérieuses. On ne trouvait curieusement à cette époque que de valeureux chevaliers brisant leurs lances au nom de grands scientifiques, d'écrivains ésotériques ou spiritualistes, d'industriels, de médecins etc, etc, pour revendiquer la paternité du Mystère des Cathédrales mais ils ne proposaient, dans le rôle de leurs champions respectifs, que des auteurs ayant rédigé leur ouvrage sans la moindre collaboration avec qui que ce soit.
Les éléments mis au grand jour à la fin du Rapport Fulcanelli démontrent qu'il y eut (au moins) deux auteurs rédacteurs officiels des ouvrages, si l'on excepte l'apport indéniable de Champagne et la mise en forme finale de Canseliet. Ces éléments photographiques sont d'une importance capitale, même si les circonstances qui ont permis leur exhumation récente et leur divulgation (via le fils quasi centenaire du vieil employé chez Schemit, un détenteur du secret qui s'était tenu durant plus de cinquante ans dans l'ombre et attendait désespérément que les circonstances soient réunies (?) pour évoquer le sujet) me paraissent davantage rocambolesques que conformes à une transmission volontaire et cherchant effectivement à "dénuder la Vérité". Enfin, mon opinion est, malgré tout plus nuancée : mieux vaut tard que jamais, selon l'adage fort sage, et surtout il est louable que ces pièces d'une portée majeure aient échappé à la destruction, qu'elle eût été sauvagement volontaire ou malheureusement accidentelle.
A mon sens, ce Rapport Fulcanelli n'aura fait le tour définitif de la question que lorsque nous serons en possession, non pas seulement du contrat des ayant-droits pour le versement des redevances qui leur sont dues, mais surtout des fiches et manuscrits qui sont parvenus à Schemit puis à l'imprimeur (Dupeley, je crois). Ces documents ne sont probablement pas perdus, eux non plus. Je ne sais si un inventaire en a été dressé à la disparition d'Eugène Canseliet. Peut-être ces manuscripts sont-ils toujours en possession de la famille (les deux filles Canseliet, a priori), à moins qu'ils n'aient éventuellement fini dans les flammes d'une cheminée depuis longtemps, ce qui est une éventualité malheureusement beaucoup plus grande que pour les contrats de droits d'auteurs et clés de répartition, nettement moins chargés émotionnellement...
Affaire à suivre, j'espère, d'ici quelques mois (ou années ?). Après tout, on a fini par retrouver fortuitement les manuscrits de Rimbaud et ceux de Flaubert. Alors pourquoi pas ceux des 2 vulcains de Saint Illide associés, ou des 2 "P. D." ainsi que les ré-écritures et corrections de la main de Jean-Julien Champagne, puis d'Eugène Canseliet ?
Ce qui m'a davantage dérangé à la lecture du rapport, c'est l'allergie, a priori viscérale, que semble afficher le rédacteur agissant pour le compte dudit groupe "Sop.ant ... ad-n" vis-à-vis de la Franc-Maçonnerie : il y aurait les auteurs fréquentables d'un côté, traçant leur sillon dans le prolongement œcuménique du bon Maître de Savignies, et de l'autre côté, le détestable, car effrontément FM, Robert Ambelain qui n'aurait cessé d'égarer ses lecteurs sur de fausses pistes. Etonnant pour un collectif de chercheurs contemporain, qui devrait, a priori, se tenir prudemment éloigné de ce genre de chamailleries si pénibles tout au long des siècles passés, en particulier au début du XXème. Il me semblait que cette page sombre de l'ésotérisme n'allait plus désormais refaire flores au XXIème. Comme on peut se tromper !
Le secrétaire dudit "groupe" va même jusqu'à incorporer dans le groupe des "détestables" FM, l'auteure du Fulcanelli Dévoilé, qui, je crois, s'en est publiquement et rapidement défendu. C'est plus difficile aujourd'hui pour Ambelain... et il est facile de tirer sur le pianiste quand son droit de réponse s'est éteint en même temps que ses cendres (!).
Pour ma part, je n'ai pas trouvé ailleurs que dans l'ouvrage Fulcanelli Dévoilé, sur lequel le "grand collège" de chercheurs Sop.ant.univers-cité.ad-n semble accepter que l'on tire à boulets rouges, l'idée que le Mystère des Cathédrales et les Demeures Philosophales auraient pu être écrits en petit groupe, justement, de façon collégiale entre trois, voire quatre co-auteurs. L'idée du nominatif pluriel Fulcanelli, m'avait d'ailleurs presque convaincu à l'époque que cette piste était des plus sérieuses. On ne trouvait curieusement à cette époque que de valeureux chevaliers brisant leurs lances au nom de grands scientifiques, d'écrivains ésotériques ou spiritualistes, d'industriels, de médecins etc, etc, pour revendiquer la paternité du Mystère des Cathédrales mais ils ne proposaient, dans le rôle de leurs champions respectifs, que des auteurs ayant rédigé leur ouvrage sans la moindre collaboration avec qui que ce soit.
Les éléments mis au grand jour à la fin du Rapport Fulcanelli démontrent qu'il y eut (au moins) deux auteurs rédacteurs officiels des ouvrages, si l'on excepte l'apport indéniable de Champagne et la mise en forme finale de Canseliet. Ces éléments photographiques sont d'une importance capitale, même si les circonstances qui ont permis leur exhumation récente et leur divulgation (via le fils quasi centenaire du vieil employé chez Schemit, un détenteur du secret qui s'était tenu durant plus de cinquante ans dans l'ombre et attendait désespérément que les circonstances soient réunies (?) pour évoquer le sujet) me paraissent davantage rocambolesques que conformes à une transmission volontaire et cherchant effectivement à "dénuder la Vérité". Enfin, mon opinion est, malgré tout plus nuancée : mieux vaut tard que jamais, selon l'adage fort sage, et surtout il est louable que ces pièces d'une portée majeure aient échappé à la destruction, qu'elle eût été sauvagement volontaire ou malheureusement accidentelle.
A mon sens, ce Rapport Fulcanelli n'aura fait le tour définitif de la question que lorsque nous serons en possession, non pas seulement du contrat des ayant-droits pour le versement des redevances qui leur sont dues, mais surtout des fiches et manuscrits qui sont parvenus à Schemit puis à l'imprimeur (Dupeley, je crois). Ces documents ne sont probablement pas perdus, eux non plus. Je ne sais si un inventaire en a été dressé à la disparition d'Eugène Canseliet. Peut-être ces manuscripts sont-ils toujours en possession de la famille (les deux filles Canseliet, a priori), à moins qu'ils n'aient éventuellement fini dans les flammes d'une cheminée depuis longtemps, ce qui est une éventualité malheureusement beaucoup plus grande que pour les contrats de droits d'auteurs et clés de répartition, nettement moins chargés émotionnellement...
Affaire à suivre, j'espère, d'ici quelques mois (ou années ?). Après tout, on a fini par retrouver fortuitement les manuscrits de Rimbaud et ceux de Flaubert. Alors pourquoi pas ceux des 2 vulcains de Saint Illide associés, ou des 2 "P. D." ainsi que les ré-écritures et corrections de la main de Jean-Julien Champagne, puis d'Eugène Canseliet ?
Plume de Pan- Nombre de messages : 1
Date d'inscription : 30/11/2013
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